
Des fois je me dis que je pense beaucoup trop. Je ne suis pas plus sage, et surtout pas plus cultivé que personne mais j’ai probablement trop de temps pour moi. Cela peut sembler étrange... la plupart du monde n’a tout simplement pas assez de temps à consacrer à eux même. Enfin, je suis habitué à marcher à l’inverse.

On ne sait pas toujours où l’on va ou si nous suivons le bon chemin. Des fois, nous rencontrons des points de repère ou des guides. Ces guides nous aident à nous diriger mais nous serons toujours l’unique maitre de notre navire. Vous savez pourquoi il est si difficile de naviguer ? Parce que la plupart du temps, nous ne savons pas où nous allons. Un bateau ne va jamais très loin sans son capitaine.

Il est important de profiter du moment présent, mais est-il possible que même les portes grande ouvertes, aucun plaisir ne peut être ressenti durant ce moment… que malgré les multiples possibilités, rien ne semble plaisant ? Si oui, pouvons nous combattre ce sentiment de vide qui nous envahi… est t’il nécessaire d’être triste afin de ressentir ce bonheur ?

Plus j’y pense et plus j’ai l’impression de vivre à l’envers de notre univers. Ce que le monde en on peur, m’intrigue. Ce que le monde déteste, j’adore. Ce que je monde aime, je le hais. Mais pourquoi… d’où viens cette attraction aux ténèbres si fantaisiste… cette force aussi contradictoire... et cette haine au conventionnalisme ?
Tant de questions et pourtant si peu de réponses…
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