Parfois on se retrouve dans des situations où tous nous semble futile. Ces situations peuvent agir littéralement comme une prison qui brime notre liberté et qui empêche l’expression de soi. Tel un écrou, où nous en sommes incapables de sortir. Nous obligent à entreprendre un comportement donné, souvent contre notre gré ou non désiré.
Avec le temps nous développons une forte familiarité à ceux-ci et la possibilité d’un futur différent n’en deviens rien de plus qu’un vague fantasme improbable. Cette familiarité devient même si puissante que lorsque nous sommes présenté à une opportunité, nous la rejetons systématiquement. Nous perdons toutes motivations et désires, acceptant l’état actuel comme étant la seule réalité possible.
Par la suite, nous justifions nos actions grâce à nos expériences passés, ce qui ne fait qu’alimenter ce dangereux cercle vicieux. Mais la douleur n’en n’est pas moindre car le vide s’en fait ressentir. À travers ce vide, et de par notre ignorance, apparaît alors la souffrance.
Les questions sur le sens de la vie touche de près chaque individu et atteint son paroxysme dans les circonstances douloureuses. Dans la nature de l'homme existe un instinct intrinsèque de vouloir connaître et comprendre le monde qui l'entoure. La recherche de sens questionne l'homme à chacune de ses actions ; dès qu'il accomplit quelque chose, il s'interroge pour savoir si sa démarche est dotée de sens.
Quand on ne trouve pas, l’envie de vivre vient à manquer, ce qui, à l’extrême, crée un sentiment de néant intérieur ou d’ennui profond. Ce « vide existentiel » peut dominer la vie des femmes et des hommes de tout âge. Il est aussi très répandu chez les jeunes. Il conduit, parfois, à la quête de pouvoirs, de plaisirs, au développement de maladies et de dépendances.
Nous pouvons résoudre cette problématique de 3 façons : Par nos actions, en expérimentant quelques choses (une valeur, nature, un art, un travail, etc.) ou rencontrant quelqu’un (amour, etc.), out par notre attitude envers une souffrance inévitable.
On ne doit pas focaliser sur les points faibles, mais sur les qualités et les meilleures possibilités de l’avenir, car toute personne, même malade, porte en elle une pureté. L’objectif est de récupérer l’estime de soi, la dignité, la volonté de ne pas admettre de se laisser imposer n’importe quoi par soi-même, et la capacité de se distancier de soi-même avec humour.
Avec le temps nous développons une forte familiarité à ceux-ci et la possibilité d’un futur différent n’en deviens rien de plus qu’un vague fantasme improbable. Cette familiarité devient même si puissante que lorsque nous sommes présenté à une opportunité, nous la rejetons systématiquement. Nous perdons toutes motivations et désires, acceptant l’état actuel comme étant la seule réalité possible.
Par la suite, nous justifions nos actions grâce à nos expériences passés, ce qui ne fait qu’alimenter ce dangereux cercle vicieux. Mais la douleur n’en n’est pas moindre car le vide s’en fait ressentir. À travers ce vide, et de par notre ignorance, apparaît alors la souffrance.
Les questions sur le sens de la vie touche de près chaque individu et atteint son paroxysme dans les circonstances douloureuses. Dans la nature de l'homme existe un instinct intrinsèque de vouloir connaître et comprendre le monde qui l'entoure. La recherche de sens questionne l'homme à chacune de ses actions ; dès qu'il accomplit quelque chose, il s'interroge pour savoir si sa démarche est dotée de sens.
Quand on ne trouve pas, l’envie de vivre vient à manquer, ce qui, à l’extrême, crée un sentiment de néant intérieur ou d’ennui profond. Ce « vide existentiel » peut dominer la vie des femmes et des hommes de tout âge. Il est aussi très répandu chez les jeunes. Il conduit, parfois, à la quête de pouvoirs, de plaisirs, au développement de maladies et de dépendances.
Nous pouvons résoudre cette problématique de 3 façons : Par nos actions, en expérimentant quelques choses (une valeur, nature, un art, un travail, etc.) ou rencontrant quelqu’un (amour, etc.), out par notre attitude envers une souffrance inévitable.
On ne doit pas focaliser sur les points faibles, mais sur les qualités et les meilleures possibilités de l’avenir, car toute personne, même malade, porte en elle une pureté. L’objectif est de récupérer l’estime de soi, la dignité, la volonté de ne pas admettre de se laisser imposer n’importe quoi par soi-même, et la capacité de se distancier de soi-même avec humour.
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