Une brune grisâtre peut être vue un peu partout dans la ville. Regardant au ciel, je voie ce qui semble être le soleil, rayonnant d’une couleur verdâtre à travers les nuages lourds qui surplombe la ville. Au premier regard, aucun signe de vie ne peut être perçu dans la ville. La majorité des bâtiments sont en ruine, représentent le déclin d’une civilisation passé. Certain se tienne encore sur toute leurs envergures alors que le vent continue a sifflé a travers les vitres brisé.
Je marche dans ces rues désertes, prestige d’une ancienne culture. Pourquoi suis-je encore vivant dans ces décombres alors que tout autour de moi me semble si mort et désert ? L’air que je continue à respirer deviens très lourd et poussiéreuse. Soudainement, je suis assaillie par un mal de tête terrible. Je dépose un genou a terre alors que les yeux fermés, je perçois d’étrange image d’un passé probable.
Dans ces images, d’autres êtres humains marchent dans ces rues. Comme des fantômes, ils ne semblent percevoir qu’une infime partie de la réalité qui les entours. La plupart semble presser, comme si quelques choses les forçaient à poursuivre cette direction. D’autre, au contraire ne semble pas certain de leurs directions; ils errent dans la ville a la recherche de quelques chose dont eux même ignore.
Le mal passe et je suis capable de poursuivre mon chemin a travers de cette citée de cendre. Je commence à me questionner, qu’est-ce qui a pu arriver a tout ce peuple ? Y a-t-il d’autre survivant ou suis-je seul ? Pourquoi moi ? Temps de question et pourtant si peu de réponse. Peut-être est-ce un rêve, pourtant tout me semble si réel.
Je décide de m’approcher de la porte la plus proche. Je cogne à cette porte, y a-t-il quelqu’un ? Aucune réponse… J’ouvre la porte, une odeur de mort ce fait ressentir à l’intérieur de cette large maison. Je ne suis pas certain que ca sois une bonne idée de continuer, toute fois ma curiosité m’interpelle a découvrir ce qui ce cache derrière cette étrange odeur pestilentielle.
Je rentre dans la première pièce, qui semble être un grand salon. Beaucoup de poussière et toile d’araignée couvre la place. Il semble que ce lieu fut abandonné depuis fort longtemps. Toutefois, une vielle horloge grand-père semble continuer de fonctionner. Selon cette dernière, il est présentement 6 heures du soir. Le rythme du cœur de l'horloge est l’unique chose qui puisse être entendu dans la maison. Laissant un silence mystérieux derrière chaque frappement de son cœur mécanique.
Depuis une fenêtre brisée, un vent frisquet ce laisse ressentir sur ma peau déjà froide par l’absence de présence humaine. Le vent hurle légèrement à mon oreille, telle une créature d’outre tombe qui serait entrain de ce réveillé tranquillement. Je regarde par la fenêtre mais rien sauf la ville en ruine et l’épais ciel vert et sombre peuvent être aperçu.
Alors qu’une fatigue me frappe, je baye lourdement à travers ce silence; comme si toute la ville endormie pouvait m’entendre. Pris de fatigue, j’essuie doucement mes yeux à l’aide de mes mains, essayant de revenir à la réalité, toutefois rien ne semble changer. Prisonnier de ma propre réalité, suis-je forcé de vivre dans ce monde pour toujours ?
Je marche dans ces rues désertes, prestige d’une ancienne culture. Pourquoi suis-je encore vivant dans ces décombres alors que tout autour de moi me semble si mort et désert ? L’air que je continue à respirer deviens très lourd et poussiéreuse. Soudainement, je suis assaillie par un mal de tête terrible. Je dépose un genou a terre alors que les yeux fermés, je perçois d’étrange image d’un passé probable.
Dans ces images, d’autres êtres humains marchent dans ces rues. Comme des fantômes, ils ne semblent percevoir qu’une infime partie de la réalité qui les entours. La plupart semble presser, comme si quelques choses les forçaient à poursuivre cette direction. D’autre, au contraire ne semble pas certain de leurs directions; ils errent dans la ville a la recherche de quelques chose dont eux même ignore.
Le mal passe et je suis capable de poursuivre mon chemin a travers de cette citée de cendre. Je commence à me questionner, qu’est-ce qui a pu arriver a tout ce peuple ? Y a-t-il d’autre survivant ou suis-je seul ? Pourquoi moi ? Temps de question et pourtant si peu de réponse. Peut-être est-ce un rêve, pourtant tout me semble si réel.
Je décide de m’approcher de la porte la plus proche. Je cogne à cette porte, y a-t-il quelqu’un ? Aucune réponse… J’ouvre la porte, une odeur de mort ce fait ressentir à l’intérieur de cette large maison. Je ne suis pas certain que ca sois une bonne idée de continuer, toute fois ma curiosité m’interpelle a découvrir ce qui ce cache derrière cette étrange odeur pestilentielle.
Je rentre dans la première pièce, qui semble être un grand salon. Beaucoup de poussière et toile d’araignée couvre la place. Il semble que ce lieu fut abandonné depuis fort longtemps. Toutefois, une vielle horloge grand-père semble continuer de fonctionner. Selon cette dernière, il est présentement 6 heures du soir. Le rythme du cœur de l'horloge est l’unique chose qui puisse être entendu dans la maison. Laissant un silence mystérieux derrière chaque frappement de son cœur mécanique.
Depuis une fenêtre brisée, un vent frisquet ce laisse ressentir sur ma peau déjà froide par l’absence de présence humaine. Le vent hurle légèrement à mon oreille, telle une créature d’outre tombe qui serait entrain de ce réveillé tranquillement. Je regarde par la fenêtre mais rien sauf la ville en ruine et l’épais ciel vert et sombre peuvent être aperçu.
Alors qu’une fatigue me frappe, je baye lourdement à travers ce silence; comme si toute la ville endormie pouvait m’entendre. Pris de fatigue, j’essuie doucement mes yeux à l’aide de mes mains, essayant de revenir à la réalité, toutefois rien ne semble changer. Prisonnier de ma propre réalité, suis-je forcé de vivre dans ce monde pour toujours ?
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