lundi 26 octobre 2009

Un peu de Métaphysique sur l’Existence

Comment déterminer ce qui est vrai de ce qui ne l’est pas? Premièrement, cela dépend du sens que l’un donne au concept de la vérité. Manifestement, ce qui est vrais pour l’un ne l’es pas forcément pour un autre. La ‘vérité’ est très subjective et varie selon les individus, les paradigmes systémiques (organismes, croyances, cultures, sociétés, etc.), mais également selon le temps.

Ces modèles sont généralement construits à partir d’ensemble d’observations et de faits avérés établie par les disciplines scientifiques. Cela dit, les paradigmes tendent à changer dans le temps en fonction de l’évolution des connaissances.

Bien sûr, cela indique que tout, selon l’expérience, les croyances, les valeurs, le contexte, le temps (et bien plus !), peut et doit, être remis question un jour ou l’autre. Sans cela nous ne pourrions pas évoluer ou nous adapter.

Considérant que la ‘vérité’ est subjective et dépend selon notre représentation interne du monde, est t’elle nécessaire ? La sagesse et la connaissance doit t’elle être vrais ? Et si oui, comment pourrions nous être certain de cette véracité ?

Probablement que nous ne s’auront jamais la véritable réponse à ces questions. Toutefois, je croie que le plus important n’est pas la véracité de notre monde intérieur mais plutôt sa congruence et l’impacte qu’il a sur notre existence et cela sur toutes les instances (autant le présent ‘passé’ que ‘future’) du moment présent.

Paix et Sérinité.

2 commentaires:

Sylvain a dit...

ça n'est pas parce que la perception que nous avons du monde est (par définition) subjective que la vérité est elle même subjective. Certaines vérités socialement établies sont remises en question, mais certaines sont probablement établies pour de bon. Par exemple on considère, preuve à l'appui que la terre est plutôt de forme arrondie, je ne crois pas que ce fait sera réfuté. Bref, ton discours est relativiste (Ce n'est pas une insulte ^^), trop relativiste à mon goût, mais intéressant.

Fred a dit...

Salut Sylvain!

Je te remercie de prendre le temps de lire mon blog!

Je comprends ce que tu veux dire. Toutefois, rien n'est réellement objectif. Les concepts fondamentaux ne sont eux même que des créations subjectives de l'homo sapiens. La terre est ronde dans les limites où l'on utilise des concepts comme la circonférence, les règles mathématiques et les connaissances géographiques de nos jours. Mais cela est vrais simplement parce que nous avons crée ces concepts logiques (et donc, dans la mesure où nous voulons les rendre les faits calculable empiriquement).

Toutefois, l'existence pourrais en même temps être beaucoup plus que ce que l'ont perçoit. Plus que la matière et les règles scientifiques que nous utilisons pour la catégoriser. Face à l'ampleur de l'existence, de l'inexistence, et l'au-delà, nous sommes comme des fourmis qui essayerais d'apprendre la physique quantique.

Ce que je veux dire c'est qu'il y a beaucoup de choses qui ce trouve à l'extérieur de notre champs de perception et que la réalité que nous créons est faite uniquement des éléments que nous pouvons percevoir.

Quelques part c'est tout à fait logique. Comment pourrions nous concevoir une vérité à partir d'élément imperceptible? Bien sure, par imperceptible, je ne parle pas d'invisible à l'œil nu, mais bien à la conscience humaine. La vérité ne peut être réalisé qu'à partir de ce qui est réel, et la réalité ne peux exister qu'à l'intérieur d'une expérience concrète. Mais qu'est-ce qui détermine cette expérience? Notre perception de cette expérience bien sure!

Maintenant, sur un plan plus globale, nous pouvons dire que dans un sens plus scientifique, la vérité ou réalité, est issue du consentement perceptif globale des scientifiques et de la population.

Enfin, j'espère que tout cela va d'éclairé à comprendre la façon dont je perçoit cette.. well.. réalité!

Je te remercie encore pour ton temps!

Passe une belle soirée!

- Fred