vendredi 28 août 2009

Travail et Société

Nous travaillions pour plusieurs raison, souvent pour des raisons financières, des fois pour le prestige et parfois par pur plaisir ! Certain en ferons même une raison d’existence. Quand à moi, ce qui m’a toujours le plus motivé était principalement le plaisir que je pouvais en tirer. Malheureusement, ce plaisir c’est transformé en obligation avec le temps.

Il en vient un temps où si l’on désire continuer à progresser nous devons changer certaine choses. Ce n’est pas toujours facile, particulièrement dû à la familiarité qu’on développe avec ces derniers. Mais il est important de s’adapter si nous désirons changer, évoluer et avancé.

Aujourd’hui, ce que je désire ne ce retrouve plus dans ce que je fais. Je veux apprendre de nouvelles choses, et un peu comme un rêveur idéaliste, aider le monde à mieux vivre. L’insatisfaction et la souffrance ce retrouve tout autour de nous. Une souffrance revêtant trois aspects : la souffrance physique et mentale ; la souffrance causée par le changement ; la souffrance causée par le conditionnement. La souffrance imprègne tous les niveaux d'existence, des plus bas aux plus élevés, y compris ce que l'on tient habituellement pour des états agréables.

Je rêve de connaissance et sagesse, d’une compréhension parfaite, d’une pensée juste (dénuée de haine, d’avidité et d’ignorance), d’une clarté d’esprit total… De surmonter ce qui est défavorable et d’entreprendre ce qui est favorable. D’une vision profonde de la réalité et de ces différentes facettes qu’elle projette sur nous.

Malheureusement la société d’aujourd’hui nous conditionne au plaisir préfabriqué. On apprend rapidement que l’argent est nécessaire pour survivre et on n’oublie souvent l’essence même de la vie. Elle nous encage dans des dogmes et stéréotypes qui nous restreignent et empêche notre épanouissement. On vient à accorder de l’importance, voir même désirer et dépendre, des éléments externes qui originalement ne fessait pas partie intégrante de notre bonheur.

Nous consommons pour comblé nos manques qui sont eux même crée par cette même consommation. Plus on s’empiffre et plus on n’en désire d’avantage. Pourtant rien n’est éternel, pas même cette tendre satisfaction que l’on désir tant… Il est temps de briser ces chaînes ! De ce libérer de cette souffrance qui nous engouffre peu à peu. Nourrit par sa propre existence, il faut couper la tête de la bête !

Lundi est ma dernière journée de travail, un repos bien mérité. À naviguer vers de nouveau horizon. Ne regardant pas derrière moi, je me prépare à redécouvrir ce monde que j’ai oublié depuis si longtemps, tel un jeune humain qui ouvre les yeux pour la première fois. La fin n’est que le début d’un nouveau commencement !

Paix et sérénité.

Méfiance, Soupçon et Paranoïa !

Beaucoup de personne développe une forme de méfiance lorsqu’il ce retrouve trahi par une personne qui leur est chère. Ils pensent qu’ils ont été naïfs et que jamais ils ne feront confiance à une personne. Toutefois, cette méfiance n’est enfaite qu’une forme de défenses réactionnelles contre l’angoisse et la perte de control d’une situation que l’on prenait pour acquis (perte d'un état qui nous était familier).

Malheureusement, méfiance et susceptibilité nourrissent l'attente d'être trompé par autrui. Cette attitude peut finalement amener directement à la tromperie ou les cachotteries de la part de l'entourage, qui par retour, justifieront la méfiance... Le patient manque d'introspection, ne se remet que peu en cause, cache ses sentiments de peur que l'on ne s'en serve contre lui. Il discerne des significations cachées, humiliantes ou menaçantes, dans des évènements anodins, ce qui en quelques sorte le conditionne à rester dans cette état de méfiance perpétuel.

Dans une forme de cercle vicieux, la méfiance ne fait que s’alimenter elle-même en provoquant un comportement qui ce justifie par lui-même. Alors, comment sortir de ce cercle ?

Premièrement, il est important de comprendre l’origine de cette méfiance : l’ignorance. Cette ignorance, et les illusions qu'elle entraîne, conduisent à l'avidité, au désir de posséder davantage que les autres, à l'attachement et à la haine pour des personnes ou des choses. L’égo et le désir mélangé avec l’impermanence et l'ignorance donne naissance à l’insatisfaction. Colère, avidité, orgueil et jalousie en découle alors.

Prisonier de notre petit univers dualiste, nous ne voulons pas souffrir, alors nous développons un état de défense et vigilance afin d’éviter que cela ce reproduise à nouveau. C'est-à-dire, la méfiance. Toutefois, comme aucun phénomène ne peut nous satisfaire de manière ultime et définitive, nous ne fessons que nous enfoncer de plus en plus à l’intérieur de nos croyances paranoïaques. Cela nous conduit à penser que nous nous portons tout à fait bien, et que les autres sont responsables de notre malheur.

Heureusement, il existe plusieurs façons de sortir de ces motifs malfaisants. Evidement, la sagesse et la prise de conscience peut aider grandement. Si l'ignorance en n'est la source, alors la sagesse en n'est le remède! Comprendre la véritable source de notre méfiance et la réalité qui y est attaché. Percevoir au-delà de nos croyances limitatives et de nos barrières invisibles aide beaucoup.

De plus, il est important de noter que le développement de l'empathie et de la compassion, nous permet de percevoir les choses sous un autre angle, de se mettre à la place des autres et adopter des points de vue différents ce qui nous permet de mieux appréhender la situation, avec compréhension et sagesse.

Sur ce, je vous souhaite à tous une excellente journée !

mardi 25 août 2009

La Familiarité et le Changement

Le désir pour ce qui est familier, pour que les choses soi les même qu’il était hier, pour la permanence de ces derniers, à une longue histoire. L’être humain possède une résistance naturelle au changement radical. Après tout, ce que nous avons fait hier nous à permis de survivre aujourd’hui.

Il ne faut pas oublier que l'impermanence s'avère la cause de la souffrance, car ce qui est impermanent n'est pas satisfaisant. Toutefois, l'impermanence est aussi promesse de changement.

Bien sûr, le monde ne désire pas consciencieusement que les choses restes les même qu’ils étaient hier. Mais il s’agit de notre inconscient qui commande, et notre inconscient sais très bien que c’est ce que nous avons fais dans le passé qui nous a permis d’être ce que nous sommes présentement.

Certaine personnes pourront dire ‘Mais j’ai travaillé sur moi-même pendant des années, je devrais avoir fini’. Mais il s’agit en fait de ce même petit problème de familiarité. Si vous avez travaillé sur vous-même pendant des années, alors ‘travaillé sur vous-même’ vous est surement devenu familier.

D’autres diront ‘Mais j’ai essayé de changer’. Encore une fois, ‘essayé’ vous est probablement devenu un état familier. N’importe qui luttant pour n’importe quel période de temps devrait considérer la possibilité que cette ‘lutte’ elle-même lui soit devenue familière.

Il est important de comprendre que cette familiarité est essentiel afin de conservé un certain équilibre pour notre survie. Imaginer vous si la température de votre corps pourrait augmenter soudainement de 20 degrés, vous mourriez instantanément. Cette équilibre interne au centre de notre organisme est appelé homéostasie.

Lorsque nous rencontrons un changement, notre ‘détecteur de familiarité’ de notre système nerveux envoie un message d’avertissement à notre cerveau. Par la suite, notre système entreprend les actions nécessaires afin de revenir à un état stable. Malgré cela, il existe plusieurs façons d’apporter des changements dans notre vie.

Premièrement, prenez un regard honnête aux circonstances de votre vie et demandez vous ce que vous avez du croire afin d’avoir ces résultats. Une fois que vous avez une idée de ce que sont vos croyances, accepté vous exactement comme vous êtes. N’oubliez pas que : ‘Ce que vous résistez persiste, mais ce que vous acceptez disparaît.’

Accepter une situation n’est pas la même chose que dire que vous l’aimez, que vous êtes content avec ou même que vous êtes prête à vivre avec. L’acceptation indique uniquement que vous reconnaissez la réalité de la situation actuelle. Certaine personne utilise le terme ‘pensé positive’ pour niez la réalité de la situation actuelle. Ceci ne fait qu’empirer la situation. L’acceptation est l’opposé du déni. Lorsque vous acceptez la réalité de votre expérience actuelle, vous vous libérez d'apporter le changement que vous désirez.

Finalement, relaxé et profité du voyage. Nous vivons dans une société qui accorde beaucoup de valeur au résultat. Ceci implique que le succès, le bonheur et la satisfaction sont dépendants de la réussite personnelle, chose qui est externe et souvent distant. Toutefois, la majorité de la vie prend place durant le processus de ces résultats et non des résultats eu même. Ce n’est pas le résultat mais bien le chemin que l’on entreprend pour y parvenir qui compte.

Comme le philosophe Kierkegaard disait : ‘La vie n’est pas un problème à résoudre, mais bien un mystère à vivre.’

Dialogue Interne

Aujourd’hui je vais vous parlez de la communication avec soi, dont la plupart d'entre nous connais cela comme étant la `pensée'. Une partie principale de la ‘pensée’ est comment nous parlons à soi-même ou à notre 'dialogue interne'. Parler à soi même est quelque chose la plupart d'entre nous fessons constamment tout les jours et est probablement l’un des principales facteurs qui crée les obstacles dans notre pensé souvent, mais pas toujours, par anticipation d’un évènement ou situation qui n’appartiens pas au présent.

Par exemple, le monde ce demande fréquemment ‘Que faire si les choses vont mal ?’, ‘Pourquoi est-ce que je semble toujours me retrouver comme un idiot ?’ ou ‘Comment se fait-il que ma vie sois tout en désordre ?’. Pour chaque question nous percevons une réponse, et habituellement il s’agit d’une combinaison de sentiment et de forme de pensé négatif.

Au lieu de cela, si vous pouvez poser des questions différentes, votre cerveau s'habituera à penser d'une manière différente. Si nous pouvons parler à soi même d’une façon plus utile, cela nous aide à trouver des solutions à nos problèmes, ainsi qu’a devenir généralement plus heureux et effectif dans tous ce que l’on fait.

Les questions à demander pourraient être ‘Quel est la chose la plus utile à faire ?’, ‘À quel point je m’améliore présentement ?’, ‘Comment je peux améliorer cette situation ?’, ‘Comment je peux faire fonctionner ces choses sans me soucier ?’, ainsi que ‘Qu’est-ce que je peux apprendre de cela ?’.

Des questions comme ces dernières permettent à votre cerveau de se concentrer sur des façons de penser plus utiles et de nous permet d'avancer, de changer et s'améliorer. Il existe plusieurs façons de transformer notre dialogue interne en quelques choses des plus utiles. Par exemple, la chanson ou la nature.

À l’exception possible des chansons avec un lyric violent et suicidaire, chanter ou fredonner une de vos chansons préférées peut vous aider de façon remarquable avec votre monde interne. De même, rien ne peut battre le son d’une chute d’eau, des vagues sur un rivage de mer ou des bruits de la forêt. Ces derniers vous permettent d’atteindre un état interne d’harmonie avec nous-mêmes.

Paix et sérénité à vous tous!