vendredi 18 septembre 2009

Perfection et Réalisation de Soi

Je me répète souvent en disant que l’imperfection fait partie intégrante de la perfection. Cela atténue donc le sens que nous pouvons donner à cette perfection. Toutefois, à nous qui sommes perfectionnistes, cela ne nous empêche pas de rechercher cette ‘véritable’ perfection, dans tout ce que nous faisons.

Je pense que l’une des plus grandes erreurs viens du fait que nous confondons cette perfection avec la réalisation de soi. Après tout, il est des plus ‘normal’ de désirer de se réaliser en temps qu’individu. Toutefois, la réalisation de soi n’indique pas forcément la perfection, mais bien le besoin d’accomplissement de soi, de réaliser son plein potentiel, de s’épanouir, de connaître, de comprendre et de s’exprimer.

Les erreurs et autres imperfections ne sont que des opportunités d’apprentissage qui s’offrent à nous. Lorsque nous vivons dans cet état de recherche de la perfection, nous évitons les erreurs mais également les apprentissages et les connaissances qui peuvent être acquis uniquement par ces derniers. De plus, nous généralisons et établissons des limites et croyances qui ne sont pas nécessairement vrai et qui ne font que limiter notre monde intérieur. Limitant ainsi notre potentialité d’acquisition des connaissances.

Les nouvelles inventions ne se sont pas créés en explorant ce que nous connaissions déjà mais bien en expérimentant de nouvelles choses dont les résultats nous étaient jusqu’alors inconnus. En suivant la route de la perfection, nous ne faisons qu’emprunter et reproduire un parcours qui à été suivi des milliers, voir même des millions de fois. Est-ce que nous devons essayer de nouvelles choses ? Absolument. C’est à travers l’expérience de nouvelles choses, en dépassant nos limites personnelles, que nous nous réalisons.

En fait, nous avons tendance à rester dans le monde ‘connu’, ce qui nous empêche de percevoir par-dessus nos barrières invisibles que nous avons crées, ne laissant donc aucune place à l’épanouissement de soi. Alors, la prochaine fois que vous rechercherez cette perfection, demandez-vous s’il s’agit vraiment d’une façon de vous réalisez ou plutôt de rester dans ce qu’il vous est connu et familier…

jeudi 17 septembre 2009

Les Yeux Fermés

Vous savez, nous disons souvent qu’il faut le voir pour y croire. Mais saviez-vous que parfois, il faut actuellement y croire pour le voir ? Lorsque nous sommes enfermé dans notre modèle de pensés noir et obscure nous ne pouvons pas percevoir cette lueur brillante, qui est pourtant belle et bien là, et qui nous montre le chemin.

Il faut alors ouvrir les yeux afin de voir au-delà de ces ténèbres. Pourtant, ces ténèbres nous paraissent souvent comme une source de réconfort, particulièrement lorsque nous n’avons pas connu mieux. Un vide constant, une douleur sur lequel nous pouvons compter. Elle fait partie intégrante de notre vie à un point qu’il peut être difficile de percevoir la vie différemment. Nous sommes habitués, voir même familier à cette douleur qui d’un certain sens nous protèges de ce monde extérieur, ‘terrifiant’ et ‘injuste’.

Comment discerner la lumière lorsque tout ce que nous avons vu n’est que noirceur ? Comment percevoir ce que nous ne pouvons pas concevoir ? Aussi mystérieux que cela puisse sembler être, sachez qu’il n’y a aucune magie. Vous avez le pouvoir d’arrêter cette souffrance à l’intérieur de vous. Arrêter d’attribuer votre bonheur et bien-être à ces éléments extérieurs aux allures majestueuses. Reprenez en main ce qui est votre !

Respirez, souriez, ouvrez votre cœur à ce monde qui vous entour. Vivez le moment présent avec intensité car chacune de ces secondes que vous vivez présentement sont uniques. Le passé à son utilité car il vous apporte des connaissances et une sagesse que vous n’aviez pas auparavant mais il ne doit pas affecter votre état de bien être actuel car seul le présent est et sera présent.

Que vous ayez vécu le meilleur ou pire passé n’a pas plus d’influence sur le présent que ce que vous être prête à lui concéder. Alors, soyez indulgent envers vous-même et ouvrez ce troisième œil qui est resté bien trop longtemps fermé sur ce magnifique univers qui nous entour. Parfois il faut y croire pour le voir…

Paix et sérénité !

Le Changement et l'Interdépendance

Ah le changement ! Beaucoup de monde désire des changements dans leur vie… Mais combien savent réellement ce qu’ils désirent ?

Vous savez, l’une des particularités du changement est qu’il prend du temps à ce concrétisé. Pourtant, dans la société de nos jours nous désirons tous instantanément. Parfois, il suffit d’ouvrir les yeux juste un petit peu pour percevoir ces changements, qui petit par petit vous guiderons là où vous désirez.

Parfois les circonstances ou notre environnement sont contre nous. Les obstacles se montent l’un après l’autre devant nous comme s’ils étaient complètement insurmontables. Face à de pareil condition, nous sommes souvent conditionné à réagir négativement ce qui ne fait que justifié l’état vécu sans pour autant nous aider à les traverser.

Il s’agit souvent de mauvaise habitude qui provient d’un de nos mécanismes d’autodéfenses telle la dépréciation (s’attribuer à soi/autrui des défauts exagérés), la rationalisation (dissimuler les motivations réelles de ses propres pensées/actes, derrières des explications rassurantes ou complaisantes, mais erronées), la projection (attribuer tort à autrui ses propres sentiments/pulsions), la dissociation (altération des fonctions d’intégration de la conscience/mémoire), le déni (refuser de reconnaître la présence de certains aspects extérieurs douloureux), etc.

Si vous pensez négativement, que ça sois consciencieusement ou non, il est plutôt absurde de s’attendre à percevoir les beautés de ce monde soudainement. Vous devez crée votre réalité ! Vous avez souffert assez longtemps, vous connaissez l’anxiété et la douleur que vos pensées actuel peuvent avoir sur vous… Êtes-vous réellement plus heureux dans l’ignorance, la méfiance, la jalousie, la dépendance et l’attachement ? Pourquoi ne pas crée quelques chose de plus lumineux ?

Absolument tout est interdépendant. La moindre chose (pensées, émotions, actions, etc.) qui nous entour à un impacte sur nous. Chaque succès, aussi petit qu’il soit, vous rapproche de ce que vous désirez. La joie attire la joie, le bonheur attire le bonheur. Par contre le contraire est également vrai ! L’anxiété attire l’anxiété, la méfiance attire la méfiance, etc. Rappelez-vous que la pensé créer !

Acceptez-vous comme vous êtes et prenez le temps de vous apprécier car nous le faisons que trop rarement !

Paix et sérénité, mes amis !

lundi 14 septembre 2009

Cessez de chercher !

J’ai remarqué que pratiquement tout le monde avec qui je parle souffre d’un ou de plusieurs éléments psychologiques néfastes. Vous savez, c’est un peu triste quand ont y pensent. Il s’agit souvent de peine d’amour/dépendance affective, anxiété/stress, trouble existentiel, manque de reconnaissance ou/et de confiance en soi.

Certains sont impulsifs créent des troubles au niveau relationnel, d’autres seront terriblement déprimés par la vie pour diverses raisons (dettes, etc.). Combien de personnes attribut une raison existentiel à un amoureux ou à leurs enfants ?

Beaucoup de monde sembles souffrir d’expériences passés, souvent du à un environnement néfaste à l’apprentissage (famille absente ou/et apprentissage inadéquat, victime d’acte criminel, peine d’amour, drogue/alcoolisme, etc.). La liste est relativement longue…

Tout cela est du à l’attachement, conditionné par l’ignorance. Nous souffrons et fessons souffrir, et cela souvent contre notre grés, tous le monde qui nous entour. Non seulement nous attribuons bonheurs et plaisir à des objets et phénomènes qui en sont souvent dépourvue mais nous oublions souvent que rien n’est permanent ou fixe.

Nous sommes anxieux car nous ne voulons pas décevoir les autres. Nous désirons l’amour car nous ne voulons pas finir nos jours seul, que nous désirons être accepté et aimé, ou simplement afin de donner un sens à notre existence.

Nous voulons être accepté et apprécié comme nous sommes, et pour cela, nous somme souvent prête à faire pratiquement n’importe quoi pour y arrivé, même au dépend de notre propre bonheur.

Il ne fait aucun doute que l’amour est l’une des forces les plus puissantes de l’univers. Toutefois, je pense que ça conception est souvent mal interprété. On y accorde souvent les valeurs extrinsèque d’attachement, de passion, de dévotion et de sacrifice. Ce que nous ne remarquons pas par contre c’est qu’il s’agit en faite d’un amour égoïste, ingénieusement déguisé par cette souffrance qu’on s’impose à soi.

Nous avons appris que l’amour de soi est mal, qu’il vaut mieux se soucier des autres, et surtout ne pas s’accorder d’importance. Agir autrement ne serait que complaisance, égocentrisme et narcissisme. Aller contre soi-même nous permet de mériter le bonheur, comme prix de notre sacrifice, comme prix d’une mortification de l’amour de soi. Si une chose doit être faite, par pur devoir, contre notre propre sensibilité, alors c’est assurément qu’elle est bonne.

C’est sur ces bases que nous créons cette grande ‘Amour’ que recherchons. Nous quantifions notre amour selon les sacrifices que nous fessons. Plus nous donnons, plus nous ‘aimons’, n’est-ce pas ? Mais nous désirons également d'être aimé, que cette personne nous rende heureuse. Un désir qui peut ce montré plus néfaste qu’il n’en parait !

À travers tout ces sacrifices ce formes une sorte d’attente. Après tout nous avons ‘acheter’ le droit d’être aimé et heureux par nos sacrifices. Mais alors cette amour ne devient tel pas qu’un simple besoin égoïste ? L’attente que la personne aimée comble les ‘manques’ immatériels ou matériels que nous ne serions pas capable de satisfaire par nous-mêmes.

Inévitablement, cette personne ne pourra pas nous satisfaire car absolument rien n’est permanent et qu'aucun phénomène ne peut nous satisfaire de manière ultime et définitive. Alors nous souffrons afin d’alimenter notre souffrance, n’est-ce pas en quelques sorte ironique ?

Cet amour passionnel, n’est alors qu’un attachement à des désirs crée par notre égo puis conditionné par notre ignorance. Acceptez vous comme vous êtes, prenez soin de vous et surtout, apprenez à vous appréciez car vous êtes, chacun et chacune, des créatures uniques et magnifiques.

Cessez de chercher, de vous tourmenter avec ce grand amour, car il est plus proche que vous ne le croyez. Regarder à l’intérieur de vous, dans les profondeurs de votre cœur et vous le trouverez, brillant de tout ces éclats.

Paix et sérénité.