jeudi 10 septembre 2009

Création Psychique

Le pouvoir de l’imagination ! Avec l’aide du subconscient, il est possible de faire pratiquement n’importe quoi. Malheureusement, ce talent non seulement fonctionne également à l’inverse (créant des éléments limitatif) mais est utilisé ainsi la majorité du temps par notre subconscient.

Nous avons tous le pouvoir de réaliser ce que l’on désire, d’être bien dans notre peau, d’être heureux et de réussir ce que l’on entreprend mais nous ne l’utilisons pas (si ce n’est que pour crée des obstacles insurmontables la majorité du temps !).

Il ne faut absolument pas douter du pouvoir de l’imagination, que cela provienne des rêves et fantasme ou de la pensé positive et négative. Nous attirons ce que nous pensons et surtout, ressentons. Nos croyances peuvent nous servir de guides mais nous limites souvent à travers notre développent personnel.

La création psychique est l’un des éléments centraux utilisé par la majorité des thérapies. Que ce sois la loi de l’attraction, la pensé positive, psychothérapie, la PNL, l’hypnose Ericksonienne, etc.

Nous créons ce que nous croyons, et nous croyons ce que nous percevons. Finalement, cette perception est influencée par les stimuli perçus et particulièrement nos connaissances passées.

Accepté vous comme vous êtes ainsi que la situation actuelle, demander ce que vous voulez et croyez-y. Que cela sois véritable ou non selon votre perception n’a que très peu d’importance. Notre perception est déjà remplie d’illusion, certaine positives, d’autre négatives. Il est fortement préférable d’utilisé une illusion qui à un impacte positif que le contraire. Alors pourquoi douté ?

Lorsque vous désirez quelques choses, que ce sois un changement d’habitude ou d’une manière d’être, utiliser votre imagination. Vivez ce moment ainsi que tous les détails qui y sont attaché comme s’il était réel présentement. Mieux vous imaginez les détails et meilleurs seront les résultats. Votre subconscient s’imprégnera de cette pensé et vous aidera à l’atteindre. Cela est fait sans effort et souvent de façon inconsciente.

C’est un peu comme si vous gagnez de l’expérience et de l’assurance face à une situation probable sans même l’avoir vécu ! Excellent contre l’anxiété, le changement d’habitude et le perfectionnement de compétence. Il est important de savoir précisément ce que l’on désir, car sinon nous risquons de ne pas percevoir les opportunités qui nous seront offert.

N’oubliez pas que ce que vous désirez doit être prononcé au présent, possible selon vous, positif et affirmé avec détermination. Vous pouvez également l’écrire sur un morceau de papier si vous le désirez. Vous serez surpris des résultats que vous pouvez atteindre !

En espérant que tout vos rêves ce réalises, je vous souhaite une très belle après-midi !

Ignorance, Illusion et Sagesse

Il y a les choses que nous savons et d’autre un peu moins, voir même, pas du tout ! Il est relativement facile de distinguer ce que nous savons de ce que nous ne savons pas. Toutefois, il est moins évident de percevoir ce que nous ne connaissons pas. Leurs impactes n’en n’est toutefois pas moindre.

Ignorer les concepts de la gravité ne permet pas une personne de voler. Tout comme l’ignorance de la loi ne donne pas raison à un criminel de l’enfreindre. Nos connaissances nous permettre d’avoir une perception plus juste (ou parfois erroné) de celle-ci mais ne nous permet pas d’en altéré sa nature.

Certain rêves et illusions peuvent nous sembler réels mais il n’en reste pas moins qu’une simple forme de biais cognitif par la perception de nos sens. Notre perception de la réalité est donc altérée par nos connaissances passées. Une chose qui peut nous sembler véridique ne l’es donc pas forcément.

Notre perception est similaire à une carte routière. La carte représente les routes d’un état ou d’un pays mais ne l’es pas pour autant. Souvent juste, elle peut parfois être erroné ou simplement pas à jours.

Nous percevons certaine choses comme bonne, et d’autres comme mauvaise. Mais combien de ces choses l’es vraiment ? En faite, nous nous conditionnons régulièrement à percevoir les choses mauvaises comme étant bonnes et vice versa. Il n’y a donc aucun doute que nous pouvons être mal dans notre peau malgré le fait que fessons que ce nous percevons comme étant le mieux pour nous.

Seule la sagesse juste peut nous permettre de bien percevoir la réalité. Mais comment être sûr qu’elle soit juste et qu’il ne s’agit pas simplement d’une autre illusion ? Le concept de la réalité elle-même pourrait être une immense illusion partagée par la société, un peu comme lorsque nous considérions la Terre comme étant plate.

La connaissance ne se retrouve pas dans la méfiance ou la crainte, qui sont eux-mêmes des produits de l’ignorance. La connaissance s’acquiert à travers le temps et l’expérience, à travers nos erreurs et nos réussites, et cela grâce à la clarté d’esprit, la compréhension, l’acceptation de soi et de toutes choses, et cela de façon détaché.

Psychologie Clinique (Introduction)

Je dois admettre que ce cours est beaucoup plus simple que celui sur la perception ! En fait, il s’agit d’une introduction au champ de la psychologique clinique.

La psychologie clinique implique l’application de principe, méthodes, et procédures pour réduire ou alléger les malformations, handicap et douleur sur une large clientèle. Ces titres et pratiques sont régulés par des organisations professionnelles (comme l’Ordre des Psychologue au Québec) et selon les états.

Certains formations spécifiques peuvent être nécessaire afin d’acquérir différent types de licences. De plus, certain trait personnel, tel l’attitude clinique, le bon jugement, et la stabilité émotionnelle, sont demandé afin de pratiquer la profession adéquatement.

Étant l’une des principales professions en santé mental, la psychologie clinique chevauche avec les autres professions en santé mental mais est distingué par une formation psychologique qui est orienté en même temps vers la recherche et la pratique. Il s’agit de la spécialité la plus grande et la plus populaire à l’intérieur du cadre de la psychologie.

Les psychologues cliniciens investissent la plupart de leur temps professionnel engagé dans l’évaluation, la psychothérapie, la recherche, l’enseignement, la consultation et l’administration. Les activités qu’ils s’engagent et les clients qu’ils rencontrent sont fortement affectés par l’environnement de travail, les préférences personnels, leurs formations, et autres facteurs sociaux.

Les cliniciens sont employés dans une variété d’environnement, incluent la pratique individuel et de groupe, les hôpitaux diverses, les communautés en santé mental, les départements en psychologie des collèges et universités et écoles médical, le gouvernement, les agences, corporations privées et autres. Dans ces cadres, ils rencontrent des clients d’une variété milieu culturel et avec une variété de problème différent.

Le salaire des cliniciens varie selon le niveau de leurs formations, l’environnement de travail et les facteurs régionaux mais est similaire avec beaucoup d’autres professions qui possèdent le même niveau d’apprentissage. Auparavant dominé par les hommes caucasien, le domaine à maintenant un plus haut pourcentage de femmes et de minorité ethnique que dans le passé.

La psychologie clinique combine la science et la pratique mais un mélange approprié des deux est matière à un débat qui c’est intensifié alors que le besoin d’établir des pratiques claire basé sur les évidences en psychologie clinique à grandi. Ce besoin vient à la fois à l’intérieur de la profession et des organisations externes qui subventionnent et payent pour les services cliniques.

À la lumière des changements à l’intérieur de la profession et à l’intérieur de la société grandissante, les psychologues cliniciens continuent à examiner leur modèle d’apprentissage, particulièrement les modèles (Boulder et Vail) dominant qui conduit au degré PhD et PsyD.

Ils doivent aussi penser plus attentivement à propos des moyen d’intégrer et de combiner les diverses approches psychothérapeutique existantes. Les organisations d’administration des soins ont beaucoup influencé la pratique clinique et vont continuer de le faire. Les facteurs culturels et légaux affectent le domaine également, comme illustré par le sort de la législation exigent la parité de la santé mental et le privilège d’ordonnance pour les cliniciens.

Phew ! C’est un bon petit résumé de ce cours !

Psychologie de la Perception (Psychophysique et Méthode de Détection, Part II)

Loi Weber (1831)

Weber à découvert qu’il était difficile de détecter une différence lorsque la différence entre deux stimuli étais petite alors qu’il était beaucoup plus facile lorsque la différence était plus grande (comme expliqué par le seuil absolue dans l’article précédent). Toutefois, il a aussi avancé que le seuil de différence était proportionnel à l’intensité du stimulus. En faite, cette loi est correcte la majorité du temps aussi longtemps que nous ne sommes pas trop proche du seuil absolue.

Loi de Fechner (1860)

La loi de Fechner à repris le concept de Weber en ajoutant que l’intensité de la sensation (seuil de différence) varie proportionnellement au logarithme de l’intensité du stimulus.

Loi d’estimation de puissance – Stevens (1957)

La loi d’estimation de puissance représente la relation entre la sensation (seuil de différence) et l’intensité physique. Selon Stevens, ces derniers suivent une relation de type exponentiel où la sensation est proportionnelle à une puissance de l’intensité du stimulus donné.

Théorie de la détection du signal

La même intensité d’un stimulus peut parfois être détecté et parfois non. Ceci est dû à diverse raison, tel : les activités neuronales sensorielles spontanées, le bruit neuronal, la fatigue, l’attention ou la motivation du sujet. La tache de l’observateur est de déterminé si la sensation expérimentée provient du signal ou du bruit.

Si la personne détecte une sensation alors qu’il n’y a pas de signal, il s’agit alors d‘une fausse alarme. Dans le cas contraire où le signal est présent, il s’agit alors d’une détection correcte.

Généralement un haut taux de détection indique également un haut taux de fausse alarme. Cela peut arrivée si le sujet est particulièrement motivé à détecter le signal par exemple. Le contraire est également vrais, un taux bas de détection indique souvent un faible taux de fausse alarme.

mercredi 9 septembre 2009

Psychologie de la Perception (Psychophysique et Méthode de Détection)

Il existe deux niveaux d’analyses dans l’étude de la perception. La psychophysique et la physiologique. La psychophysique est reliée aux stimuli dans l’environnement. Il s’agit de l’étude de la relation entre la perception et le stimulus. La physiologique quand à elle s’intéresse au processus dans le corps (transduction, traitement nerveux, etc.). Il s’agit donc de l’étude de la relation entre le stimulus et la réponse neuronale. Toutefois, la première partie du cours s’intéresse particulièrement à la psychophysique.

Avant de débuter avec les méthodes utilisés pour mesuré la détection/perception d’un individu, il est important d’expliquer les notions de seuil.

Le seuil absolu de détection est la quantité minimale d’énergie physique (provenant d’un stimulus) nécessaire pour le détecter. Par exemple, il peut être difficile de faire la différence entre une foule de 10,000 personnes et une de 10,005 personnes. Toutefois, il est beaucoup plus facile de faire la différence entre 1,000 personnes et 10,000 personnes car la différence ce retrouve au delà du seuil absolu de détection.

Le seuil différentiel est la plus petite différence entre 2 stimuli pour produire une perception juste perceptible. C’est-à-dire, qu’elle sera perceptible environ 50% du temps.

En psychophysique, il existe plusieurs méthodes permettant de mesurer la perception d’un stimulus. Parmi les méthodes principales de détection nous retrouvons la méthode des limites, la méthode d’ajustement et la méthode des stimuli constants. Ces trois méthodes ont été établies par Fechner en 1980 avec l’aide de la loi de Weber.

La méthode des limites consiste à plusieurs séries de stimuli d’intensité croissante et décroissante présenté devant le sujet. Celui-ci doit indiquer s’il perçoit ou non le stimulus. Par la suite on n’établie le seuil absolue selon la moyenne obtenu. Il s’agit d’une méthode simple et rapide mais qui peut contenir des erreurs d’anticipation et de persévération.

Durant la méthode d’ajustement, le sujet change graduellement l’intensité du stimulus jusqu’à ce qu’il soit à peine détectable. La moyenne des niveaux intensités perçue est alors utilisée comme seuil absolue. Il s’agit d’une méthode encore plus simple et rapide que la précédente mais possède un seuil incertain ainsi qu’une très grande subjectivité dû au grand contrôle de la part du sujet.

Finalement, la méthode des stimuli constants est la présentation aléatoire de stimuli d’intensité variable où le sujet doit indiquer s’il perçoit ou non le stimulus. Grâce au résultat obtenu, nous déterminons le seuil absolu à partir d’un tableau contenant la moyenne des niveaux d’intensité détectée. Le seuil absolu est pris à partir du point d’égalité subjective, indiquant généralement 50% des détections durant les essaies. Il s’agit de la méthode la plus précise mais aussi de la plus longue et complexe.

J’avoue que ce ne doit pas être évident à comprendre sans graphique… enfin !

Assez pour cette nuit, à demain !

Psychologie de la Perception (Processus Perceptif)

J’ai décidé de transcrire un très court résumé de mon cours afin de m’aider dans mon apprentissage. Il est fort possible que je fasse de même avec mes autres cours si j’en trouve le temps.

Premièrement, deux terminologies importantes.

Sensation : La sensation est le traitement primaire de l’information par le système nerveux à la suite de la stimulation d’un organe sensoriel (visuel, auditif, kinesthésique, etc.).

Perception : La perception est le traitement secondaire d’information par le système nerveux qui permet d’interpréter les stimulations sensorielles. Il s’agit d’une construction à partir de connaissances antérieurs, attentes, motivations, émotions de la part du percevant afin d’attribuer une signification au stimulus. En bref, il s’agit de l’expérience sensorielle ou si vous préférez, comment le stimulus est ressenti par l’individu.

Une chose importante à ce rappeler est que tout ce que nous voyons, entendons, goutons, ou sentons est filtrer à travers les mécanismes de nos sens. Ceci veux dire que ce que nous percevons n’est pas seulement déterminer par notre environnent mais aussi par les propriétés de nos sens.

Le processus perceptif

La perception implique une séquence d’étape qui s’appelle le processus perceptif. D’une façon plus vulgaire, on peut dire que la perception fonctionne un peu comme le processeur d’un ordinateur. Il y a l’entré d’information, le traitement puis la sortie d’information

Le processus débute par un stimulus environnemental (inclue tout les choses dans notre environnement que nous pouvons potentiellement percevoir). Lorsque nous concentrons notre attention sur un élément particulier, celui-ci devient le centre de notre attention. Le centre de notre attention change de temps en temps selon l’emplacement où nous désirons porter notre attention.

Nos organes sensoriels recueil alors l’information et le transforme en énergie électrique. La transformation d’une forme d’énergie à une autre forme d’énergie est appelé la transduction.

Une fois l’information transformé en signal électrique, cette énergie active les neurones qui eux traite l’information. Il s’agit du traitement nerveux du stimulus.

Par la suite, nous avons la perception du stimulus, qui comme indiqué auparavant, est l’expérience ressenti.

Toutefois, le parcourt ne s’arrête pas ici. Une fois le stimulus perçu, nous devons procéder à la reconnaissance de l’objet. Il s’agit de notre habilité à donné un sens à ce stimulus.

Finalement, nous avons la réaction comportementale au stimulus. Il peut s’agir par exemple d’un simple déplacement en réponse aux stimuli ressentis.

Il est important de noter que le traitement nerveux et la perception du stimulus est influencé par les facteurs cognitifs (les connaissances, expériences passés, etc.) de l’individu.

‘Alors qu’une partie de ce que nous percevons viens des objets devant nous, une autre partie (et probablement la plus grande) vienne toujours de notre propre pensé.’

Deuxième journée à UQAM

Et oui, l’université à déjà commencé ! Il y a beaucoup plus de monde à l’automne que durant l’été. Je me sentais tout petit entouré de tous ces jeunes ! À date il semble qu’il y a beaucoup plus de fille que de gars dans mes cours et je dois admettre qu’il semble y avoir beaucoup de lecture en perspective.

J’en ai aussi profité pour faire ma demande d’admission pour mon certificat en Psychologie pour cet hiver. J’ai bon espoir que cela marchera mais dans le cas contraire, je prendrai d’autres cours en temps qu’étudiant libre et je suivrai peut être une formation de praticien en PNL.

Je dois admettre que les livres sont légèrement dispendieux… mais fort intéressant (heureusement !). À par cela, j’ai bien hâte au 16 septembre pour m’inscrire au cours d’escalade au centre sportif.

Sur ce, je vous souhaite une belle soirée ! Tourlou !

L’Autojustification, Plainte et Victimisation

Avez-vous remarqué que non seulement nous chialons souvent mais nous aimons cela ? Mais d’où vient ce plaisir que nous éprouvons à nous plaindre ?

Ce que nous fessons ou pensons est pratiquement toujours bien mais pas ce que les autres font ou pense ! Combien de personne à été abusé par une personne qu’il ou qu’elle aimait ? Par contre, ils semblent toujours tout avoir plus que nous et nous ne comprenons pas pourquoi !

Tout cela est dû à une dualité dans notre égo, le moi et le non-moi. Nous nous comparons aux autres et démontrons que nos actions sont meilleurs que ceux des autres. Puis nous justifions nos actions selon notre perception de la réalité.

Dans la société de nous jours, les fautes et erreurs sont très mal vues et tout le monde recherche la perfection. Toutefois, on n’oublie souvent deux choses très importantes. Premièrement, c’est a travers de ces ‘fautes’ que nous inventons et apprenons de nouvelle chose. Chaque erreur est une magnifique opportunité d’apprentissage.

Deuxièmement, l’imperfection fait également partie de cette perfection que nous recherchons tant. Je dirais même qu’il s’agit de cette synergie entre l’imperfection et la perfection qui permet à la vie d’être aussi coloré et merveilleuse !

‘Ce n’est ni la qualité de notre passé, ni même les résultats futur qui détermine notre bien-être actuel mais bien comment notre moment présent est vécu.’

Si vous avez été comblé toute votre vie et que soudainement vous ne l’être plus, vous ne serez pas plus satisfait que c’elle qui n’a jamais reconnu ces mêmes besoin. Au contraire, vous risquez d’utiliser ce passé qui vous semblais si parfait comme point de référence et de comparaison à votre réalité actuel, ce qui ne fera qu’augmenter le vide qui ce trouve entre l’état désiré et l’état actuel, et donc, votre insatisfaction.

Mais pourquoi chercher à avoir raison ? Pourquoi devons nous nous justifier constamment ? Afin d’attirer l’attention, de combler un besoin et voir même, manipuler notre entourage ?

Depuis notre plus jeune âge, nous avons appris différente technique pour attirer l’attention. Nous voulons bien faire et réussir afin que le monde proche de nous en soit fière et nous apprécie mais cela n’est pas toujours facile. Nous avons donc développé d’autres façons d’attirer l’attention. Ceci inclus le pleurnichement, gémissement ou simplement, la ‘victimisation’.

Par ce procédé, la ‘victime’ attire l’attention grâce à la pitié des autres afin d’atteindre ce qu’il désire. Puis elle ce justifie; ces actions, sa situation, son comportement, ses émotions, etc. Toutefois, cette justification, souvent inconsciente, est forgée à partir d’un contexte erroné et subjectif. Il est donc possible qu’elle soit vrais ou non mais la vision globale de cette dernière est caché par sa subjectivité. Pour la victime, elle semble non seulement vraie, car elle a été crée par elle de toute pièce, mais forme un obstacle qui peut paraitre pratiquement insurmontable.

Si une personne la contredit, cela ne fait que renforcé sont comportement négatif en démontrant qu’une fois de plus elle n’est qu’une victime de la société, incomprise, etc. Bien sûr, si une personne confirme ces plaintes et gémissements, cela ne fait que confirmer sa justification, renforcent également sont comportement négatif. La personne ce conditionne alors à être véritablement une victime. Une magnifique double contrainte, n’est-ce pas ?

Mais vous savez, pratiquement la totalité de la difficulté perçu d’un obstacle vient du fait que nous le percevons comme un obstacle. Au final, comme à l’origine, tout provient de l’ignorance. L’ignorance conditionne les formations mentales, et donc l’égo, nos croyances, désirs et perception de la réalité.