jeudi 10 septembre 2009

Psychologie de la Perception (Psychophysique et Méthode de Détection, Part II)

Loi Weber (1831)

Weber à découvert qu’il était difficile de détecter une différence lorsque la différence entre deux stimuli étais petite alors qu’il était beaucoup plus facile lorsque la différence était plus grande (comme expliqué par le seuil absolue dans l’article précédent). Toutefois, il a aussi avancé que le seuil de différence était proportionnel à l’intensité du stimulus. En faite, cette loi est correcte la majorité du temps aussi longtemps que nous ne sommes pas trop proche du seuil absolue.

Loi de Fechner (1860)

La loi de Fechner à repris le concept de Weber en ajoutant que l’intensité de la sensation (seuil de différence) varie proportionnellement au logarithme de l’intensité du stimulus.

Loi d’estimation de puissance – Stevens (1957)

La loi d’estimation de puissance représente la relation entre la sensation (seuil de différence) et l’intensité physique. Selon Stevens, ces derniers suivent une relation de type exponentiel où la sensation est proportionnelle à une puissance de l’intensité du stimulus donné.

Théorie de la détection du signal

La même intensité d’un stimulus peut parfois être détecté et parfois non. Ceci est dû à diverse raison, tel : les activités neuronales sensorielles spontanées, le bruit neuronal, la fatigue, l’attention ou la motivation du sujet. La tache de l’observateur est de déterminé si la sensation expérimentée provient du signal ou du bruit.

Si la personne détecte une sensation alors qu’il n’y a pas de signal, il s’agit alors d‘une fausse alarme. Dans le cas contraire où le signal est présent, il s’agit alors d’une détection correcte.

Généralement un haut taux de détection indique également un haut taux de fausse alarme. Cela peut arrivée si le sujet est particulièrement motivé à détecter le signal par exemple. Le contraire est également vrais, un taux bas de détection indique souvent un faible taux de fausse alarme.

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