lundi 10 octobre 2011

Un an plus tard, attention à la pub!

Et oui, cela fait déjà plus d’un an depuis mon dernier article. C’est quelques peu triste… J’en avais même oublié son existence, mais une âme charitable m’en à rappeler!

Alors, je voulais en profiter rapidement pour remercier Yulia, qui d’ailleurs travail pour Jooble!

/pub on

Vous cherchez un emploi ? Alors Jooble peut vous aider! Vous pourrez trouver ce nouveau lien en bas à droite dans la fameuse liste des liens.

Euh.. C’est ça qui est ça!

C’était la minute pub de la journée.

/pub off

Bon, bon, ceci dit, les choses ont bien changé depuis l’année dernière. Et oui, je suis revenu aux études mais dans un domaine complètement différent! Ça fait déjà un peu plus d’an que j’étudie en ingénierie à l’ÉTS dans le domaine de la production automatisée. D’ailleurs je recherche un premier stage (niveau technicien) dans la région Montréalaise pour la période hivernal. Si vous avez vent de quelques chose d’intéressant, je vous invite à me contacter!

Sinon, j’aimerais également offrir mon aide au niveau de l’enseignement académique (physique, mathématique, informatique ou même dialectique). J’enseigne régulièrement à mes collègues universitaires et parfois même aux enfants. Si vous avez des questions, besoin d’aide pour une révision ou un problème précis, faite moi signe! Détrompez-vous! Il s’agit d’un désire purement égoïste, car j’en apprends au moins également, voir même plus! =)

Maintenant que j’y pense, cela fait au moins trois publicités de suites dans un même article, je pense que je vais battre des records, si ce n’est que comparé aux autres articles que j’ai posté.

Je vais donc terminer ce petit article en vous souhaitant une agréable journée!

- Fred

mardi 1 juin 2010

Et ça continue…


Bonne soirée chères lecteurs, bienvenue à ce 212ième monologue avec moi-même.

À travers ma folie quotidienne, j’ai pris conscience que la seule personne qui peut et pourra me comprendre vraiment n’est nul autre que moi-même. Peut-être est-ce une raison en soi même qui pourrai expliquer l’existence de ce blog? Ce n’est pas comme si c’était mon devoir de le faire.

Mais vous savez, je commence à être tanné d’expliquer tout continuellement! Et pourtant, j’ai souvent l’impression que quelques choses à l’intérieur de moi m’y force naturellement. Et évidemment, si ce n’est pas moi, c’est les autres… Enfin, whatever, anyway!

Alors Fred, what’s up ? Les gnomes ton empêché de dormir ce matin et c’est pour cela que tu délires un peu plus que d’habitude? *Shrug* Maybe yes, maybe not. Lol.

C’est un article un peu plus ‘non conventionnel’, mais je suppose que c’est le genre de chose qui arrive lorsque l’on reste trop longtemps tout seul dans une pièce à 29 ou 30 degrés Celsius, meh!

Tien, ca me tente de me plaindre! Hmm… il faudrait par contre que je trouve quelques choses qui ’méritent’ mon gémissement. Oh, détrompez-vous, ils n’en manquent pas! En fait, en y repensant, je pense que je suis mieux de ne pas commencer sinon je risque de ne pas pouvoir la finir!

Mais non, je préfère faire un monologue avec moi-même! Avec un peu de chance, je vais peut être même développer de multiples personnalités! Il pourrait avoir le Moi positif, négatif, impulsif, rationnel, émotionnel, etc…

- Cela pourrait être ‘presque’ intéressant… (Me dirais-je avec sarcasme.)

Et puis, j’aime bien tout ce qui est un peu chaotique. Mais il faut faire attention pour éviter les extrêmes, sinon on perd un certain aspect de ce chaos proprement-dit! L’ordre fait partie du chaos, mais est-ce que le chaos fait partie de l’ordre? J’imagine qu’il a sa place à sa manière, perdu à travers l’immense océan des possibilités.

Anyway, l’ordre ou le chaos, tout comme le bien, le mal, le temps, le hasard ou le destin, n’existe qu’à travers notre perception conceptuelle. Et puis, malgré cette appréciation pour cet ordre chaotique, j’en reste une personne de raison. Enfin, plus ou moins. ;)

Et bien, après tout cela, on peut dire que je suis en quelques sortes mon propre meilleur ami. C’est sûr qu’il est généralement préférable d’avoir une entité séparé afin d’avoir un deuxième opinions avec un certain facteur de divergence. Sinon, cela limite considérable le potentiel imaginatif, et puis, ca devient un peu ennuyant lorsque nous contrôlons tout. Je veux dire… On peut dire bien des choses à une roche mais cela est rarement aussi intéressant qu’avec nos égales.

La solution est simple, Il suffit de posséder plusieurs personnalités avec des opinions différentes! Non, je déconne. Bien que cela pourrais être amusant... Toutefois, ca serais plutôt embêtant lorsqu’une personne aurais à prendre une décision.

- Et bien! Encore entrain de tout expliquer, Fred?
- Mais non… mais non….

*Soupir puis souris*

Tien, je vais parler avec le Moi négatif. Je l’ai plutôt négligé c’est dernier temps.

- Alors, comment vas-tu?
- Die…
- Ooookay! Ca fait un bout que tu n’es pas sortie de là, eh?
- Braaaaaiiinnn….
- Je te reconnaîtrai toujours ce petit côté... uh…
- Zombie?
- Ouaip! Bien que j’avoue bien aimer la science fiction et tout ces petits films grindhouse. Par contre, je n’aime pas les films d’horreurs.
- Enfin.
- Enfin?
- Bah quoi, tu ne t’attendais pas à ce que je dise moi-aussi ? XD
- Well, non.
- Bien.
- Bien?
- Mal?
- Bon, okay. J’abandonne!
- Ce n’est pas comme si tu étais entrain d’accomplir quelques choses.
- Oui, bon. Enfin, je me comprends. Je veux dire, tout les deux. Enfin, nous, comme étant le tout, le vrais Moi…
- Tu achèves ?
- Tu devrais déjà le savoir, non?
- Absolument.
- Bon… euh.. .je pense que notre discussion ce termine là alors… Il y a tu quelqu’un qui veux prendre ma place?
- Je peux tu ?

(>.>)

- Bon, assez déconné…
- Vraiment?
- Arrg, Next!

Vous savez, je pourrais parler longtemps comme ça… Et puis, il y a tellement de facette à explorer. Toutefois, je ne suis pas certain que cela sois particulièrement productif!

En y repassant, je peux voir qu’il existe 2 aspects majeurs de la personnalité. C’est-à-dire, le comportement (le masque qu’on projette ou le Surmoi) et la nature (l’aspect cognitif intérieur de l’individu, le désir ou le Ça). Et c’est le mélange des deux, ajusté selon les situations qui crée nos diverses personnalités.

Par exemple, la personnalité (et donc notre manière d’agir) à l’école (l’étudiant) est différente de celle au travail (le technicien). Mais les deux sont construits à partir des attentes collectifs et des besoins individuels, formant ainsi le Moi. Dans le cas de mon monologue précédant, on peut dire qu’il s’agissait en quelques sortes d’un discours intérieur, entre deux aspects complètement différent. L’un répondant aux exigences sociales alors que ... Blablabla!

Bon, je commence à être tanné d’écrire et de faire de la psychanalyse en même temps. Et pourtant c’est probablement ce que j’ai de mieux à faire présentement…

Bien, je viens de décider que mon prochain article sera un entrevue avec moi-même. Enfin, si je ne change pas d'idée d'ici là! Tien, demandons à cette drôle de nature ce qu’elle pense de tout cela!

- Rien à foutre.

Et bien, n’est-ce pas excitant très chères lecteurs?

Alors à une prochaine fois pour un autre monologue avec votre hôte, Frédéric!

jeudi 27 mai 2010

Le Talent de ne rien dire

Vous savez… Ce n’est pas toujours facile d’écrire un article qui puisse être intéressant. Peut être que je suis trop dur envers moi-même… mais si je ne le trouve pas intéressant, comment pourrais-je espérer que les autres le trouve?

*Soupire*

Quel est l’objectif de ce message? Une simple complainte de mon âme? Un écrit dans un document Word qui fera peut être parutions dans l’un de mes articles futures? Visiblement oui, si vous me lisez!

Un monologue sans objectif clair… Une expression de mon Moi? Mais dans quel but? Dit-moi Frédéric, toi qui as délaissé ce monde tout noir. Prisonnier de mes pensés, je cherche une réponse. Au moins cela me permet d’améliorer mes talents en Français… N’est-ce pas?

Si vous saviez, j’aimerais réellement savoir de quoi je parle! De participer à quelques choses qui soient plus grand, avec un thème et un objectif. Je pourrais même en faire une sorte de divertissement. Enfin…

En n’y repassant, on peut dire que tout ce blog reste une forme d’héritage de ma part. Qui sait combien d’années ce site restera perdu à erré sur l’internet… Fréquenté à l’occasion par ses loyaux lecteurs ainsi que quelques voyageurs un peu égaré.

Et pourtant me voila qui continue à écrire… Je me fais une liste de mot ou sujet clefs avec quoi j’essaye simplement de composé avec! Qu’est-ce que ca donne? Pratiquement tout ce que vous lisez! C’est ridicule, n’est-ce pas?

J’ai l’impression d’être prise au piège, dans une situation où je dois rendre intéressant des choses qui en sont complètement dépourvu. Est-ce que je réussi ? C’est dur-à-dire mais si vous êtes entrain de lire cette phrase, je présume que oui. Bien que vous en avez peut être sauté un bout (et avec raison!).

- Fred

dimanche 23 mai 2010

Titre Aléatoire pour un Texte Aléatoire

Bonjours, bonjours!

Cela fait maintenant plus de 6 mois, et pratiquement 7, que j’ai délaissé mon blog. Beaucoup de choses ce sont passés, certaines plus ou moins pertinentes que d’autres. J’avoue qu’il m’est venu à l’esprit plusieurs fois d’écrire un petit quelques choses à vous, mes très chères lecteurs, si ce n’est que pour vous annoncé la terminaison de ce blog… et pourtant non.

Pourquoi aujourd’hui? Pourquoi pas hier, ou même demain! Enfin, l’important n’étant pas le moment à lequel l’article à été composé mais plutôt ce moment actuel, où vous lecteurs dévoué, prenez pour le lire.

Aujourd’hui, j’ai décidé de consacrer un peu de temps à ce petit côté sombre qui tout comme ce blog, à été fortement négligé ces derniers temps. Après tout, quelle meilleure place que ce site pour exprimer ces étranges idées qui circule dans cette tête ?

Enfaite, il s’agit d’un sujet relativement délicat lorsqu’exposé au contrainte sociale de notre société. C’est ce que j’appelle la différence entre notre Moi idéal, souvent oublié et/ou inhiber, et celui imposé par la société qui nous entour. Parfois vu comme un fantasme immature ou enfantin, nous le refoulons à l’intérieur de nous afin de satisfaire les exigences de notre environnement.

Cela mérite bien un petit soupire, alors que mon imagination divague sur ces étranges plaines qui est mon imagination!

Mais d’où viens ces rêves infantiles, générateurs d’espoirs mais également propice à l’autodestruction ? Enfaite, il faudrait ce demander premièrement d’où proviens ces comportements destructeurs et qu’elle est le rôle de notre instinct de survie à travers cela.

D’une façon comme une autre, l’organisme en question perçoit un renforcement supérieur en agissant contre son bien être général. Autrement dit, il n’agit pas réellement de manière chaotique ou stupide (bien que souvent ignorante) mais plutôt d’une réaction logique selon ses expériences antérieurs et la perception qu’elle en n’a. L’objectif n’étant pas de ce sentir mal mais au contraire, d’atténuer cette douleur qui gîte à l’intérieur de l’individu.

Biologiquement, grâce à l’instinct de survie, nous recevons généralement un renforcement positif lorsque nous entreprenons une action favorable à notre survie. Toutefois, celui-ci peut être perverti contre lui-même dans certain cas.

Par exemple, dans le cas d’une personne qui décide d’entreprendre un comportement nuisible suite à une rupture amoureuse. Quelle sois réellement désireuse d’attirer l’attention ou de mettre fin à une souffrance, il s’agit essentiellement de la rupture d’un lien d’attachement. Cette douleur provient donc de la perte du renforcement anciennement généré par le lien d’attachement.

Nous sommes tous désireux de prendre les bon choix (la fameuse quête de la perfection). Nous recherchons continuellement l’approbation de nos pairs. Sur le plan biologique, nous sommes attirés vers nos semblables. Ceci est très important, non seulement la force vient en nombre, mais également dans un but de procréation.

L’instinct de survie est inconscient et très puissant. Que ce sois le bébé qui s’attache à sa mère pour survivre dans un environnement qui est nouveau et inconnue ou la peur qui est dégagé suite à une situation dangereuse. Sans celui-ci, nous n’existerions tout simplement pas.

Un autre cas serait par exemple la cigarette. Nous savons tous que fumer est néfaste pour notre santé. Toutefois, lorsque nous commençons à fumer, c’est souvent dans l’objectif d’être accepté par nos semblables. Par la suite, sur le plan psychologique, et même biologique, notre cerveau attribue un renforcement positif à cette mauvaise habitude ce qui est initiateur au développement de cette nouvelle dépendance.

Il est particulièrement intéressant de percevoir l’ironie qui ce cache derrière l’intention de l’individu. L’instinct de survie est tellement puissant que la seule chose qui puisse l’égaler est elle-même! Nous pouvons donc dire que ce comportement destructeur provient actuellement d’une forme de perversion de notre instinct de survie.

Quel est la ‘morale’ de cette histoire? Toujours garder un œil sur nos comportements et pensés, aussi positif ou négatif qu’il soit, ainsi que les bénéfices cachés qui y est attaché. Un phénomène à une valeur positive ou négative que si nous décidons de lui en n’accorder une. Aussi, ce que nous percevons comme néfaste ne l’est pas forcément, mais le contraire est particulièrement vrais également!

Sur ce, je vous souhaite tous une belle soirée.

lundi 26 octobre 2009

Un peu de Métaphysique sur l’Existence

Comment déterminer ce qui est vrai de ce qui ne l’est pas? Premièrement, cela dépend du sens que l’un donne au concept de la vérité. Manifestement, ce qui est vrais pour l’un ne l’es pas forcément pour un autre. La ‘vérité’ est très subjective et varie selon les individus, les paradigmes systémiques (organismes, croyances, cultures, sociétés, etc.), mais également selon le temps.

Ces modèles sont généralement construits à partir d’ensemble d’observations et de faits avérés établie par les disciplines scientifiques. Cela dit, les paradigmes tendent à changer dans le temps en fonction de l’évolution des connaissances.

Bien sûr, cela indique que tout, selon l’expérience, les croyances, les valeurs, le contexte, le temps (et bien plus !), peut et doit, être remis question un jour ou l’autre. Sans cela nous ne pourrions pas évoluer ou nous adapter.

Considérant que la ‘vérité’ est subjective et dépend selon notre représentation interne du monde, est t’elle nécessaire ? La sagesse et la connaissance doit t’elle être vrais ? Et si oui, comment pourrions nous être certain de cette véracité ?

Probablement que nous ne s’auront jamais la véritable réponse à ces questions. Toutefois, je croie que le plus important n’est pas la véracité de notre monde intérieur mais plutôt sa congruence et l’impacte qu’il a sur notre existence et cela sur toutes les instances (autant le présent ‘passé’ que ‘future’) du moment présent.

Paix et Sérinité.

jeudi 24 septembre 2009

Intention Paradoxale

L’intention paradoxale est la pratique délibérée d’une habitude ou d'une pensée névrotique, entreprise afin de les identifier et de les enlever. L’acceptation de cette névrose est souvent bloquée par la peur de ne pas pouvoir supprimer ses symptômes. L’échec à la suppression du comportement névrotique ajoute alors un sentiment d’insuffisance et de dépression au problème original.

La logothérapie encourage l’individu à intensifier leurs symptômes afin d’augmenter sa conscience face à leurs conséquences. Ceci aide également l’individu à percevoir l’absurdité de leurs symptômes.

Quelque part, cela me fait penser un peu à la catharsis pratiquée dans la psychanalyse, ou à la thérapie de régression si vous préférez. Après tout, il n’y a qu’à travers l’acceptation de soi la plus totale que nous pouvons dissoudre les sentiments négatifs qui perdurent.

Un peu comme la peur et l’anxiété, c'est souvent un danger hypothétique qui crée cette crainte. Elle apparaît face à des destinations ou circonstances inconnues. Toutefois, il suffit souvent de surmonter sa peur une seule fois pour la faire disparaître définitivement.

L’intention paradoxale est fréquemment utilisée pour traiter l’anxiété anticipatrice (la crainte qu’une conséquence spécifique se produise augmentant ainsi sa probabilité). Par exemple, dans le cas d’une personne qui à peur de ne pas pouvoir dormir, celle-ci a beaucoup plus de chance de s’assoupir si elle essaye de ne pas dormir car cela la délivre de l’anxiété anticipatrice (la peur de ne pas dormir) qu’elle aurait autrement.

Tout cela me fait un peu penser à cette expérience que j’ai vécue lorsque j’ai confronté mon inconscient le 8 février 2009. Je me suis imposé une action qui semblait normalement contradictoire à ce qui serait normal et par ce fait, j’ai pu remarquer à quel point ma névrose était des plus absurdes.

Depuis, avec le temps, j’ai appris que lorsque je ressens quelque chose, que ce soit positif ou négatif, il est fortement préférable de le vivre intensément et pleinement. Lorsque nous conservons ces émotions, cela ne fait qu’augmenter le désir (et donc l’avidité et la jalousie), ou, au contraire, l’aversion (la colère, rancune, etc.) envers le phénomène (objet, personne, évènement, etc.) en question.

Par notre refus et notre ignorance, nous restons attachés à nos désirs et donc à notre souffrance, espérant une délivrance éventuelle. Ouvrez les yeux mes amis ! Cette libération que vous recherchez se retrouve juste sous votre nez !

mercredi 23 septembre 2009

Futilité, Emprisonnement et Souffrance

Parfois on se retrouve dans des situations où tous nous semble futile. Ces situations peuvent agir littéralement comme une prison qui brime notre liberté et qui empêche l’expression de soi. Tel un écrou, où nous en sommes incapables de sortir. Nous obligent à entreprendre un comportement donné, souvent contre notre gré ou non désiré.

Avec le temps nous développons une forte familiarité à ceux-ci et la possibilité d’un futur différent n’en deviens rien de plus qu’un vague fantasme improbable. Cette familiarité devient même si puissante que lorsque nous sommes présenté à une opportunité, nous la rejetons systématiquement. Nous perdons toutes motivations et désires, acceptant l’état actuel comme étant la seule réalité possible.

Par la suite, nous justifions nos actions grâce à nos expériences passés, ce qui ne fait qu’alimenter ce dangereux cercle vicieux. Mais la douleur n’en n’est pas moindre car le vide s’en fait ressentir. À travers ce vide, et de par notre ignorance, apparaît alors la souffrance.

Les questions sur le sens de la vie touche de près chaque individu et atteint son paroxysme dans les circonstances douloureuses. Dans la nature de l'homme existe un instinct intrinsèque de vouloir connaître et comprendre le monde qui l'entoure. La recherche de sens questionne l'homme à chacune de ses actions ; dès qu'il accomplit quelque chose, il s'interroge pour savoir si sa démarche est dotée de sens.

Quand on ne trouve pas, l’envie de vivre vient à manquer, ce qui, à l’extrême, crée un sentiment de néant intérieur ou d’ennui profond. Ce « vide existentiel » peut dominer la vie des femmes et des hommes de tout âge. Il est aussi très répandu chez les jeunes. Il conduit, parfois, à la quête de pouvoirs, de plaisirs, au développement de maladies et de dépendances.

Nous pouvons résoudre cette problématique de 3 façons : Par nos actions, en expérimentant quelques choses (une valeur, nature, un art, un travail, etc.) ou rencontrant quelqu’un (amour, etc.), out par notre attitude envers une souffrance inévitable.

On ne doit pas focaliser sur les points faibles, mais sur les qualités et les meilleures possibilités de l’avenir, car toute personne, même malade, porte en elle une pureté. L’objectif est de récupérer l’estime de soi, la dignité, la volonté de ne pas admettre de se laisser imposer n’importe quoi par soi-même, et la capacité de se distancier de soi-même avec humour.