lundi 26 octobre 2009

Un peu de Métaphysique sur l’Existence

Comment déterminer ce qui est vrai de ce qui ne l’est pas? Premièrement, cela dépend du sens que l’un donne au concept de la vérité. Manifestement, ce qui est vrais pour l’un ne l’es pas forcément pour un autre. La ‘vérité’ est très subjective et varie selon les individus, les paradigmes systémiques (organismes, croyances, cultures, sociétés, etc.), mais également selon le temps.

Ces modèles sont généralement construits à partir d’ensemble d’observations et de faits avérés établie par les disciplines scientifiques. Cela dit, les paradigmes tendent à changer dans le temps en fonction de l’évolution des connaissances.

Bien sûr, cela indique que tout, selon l’expérience, les croyances, les valeurs, le contexte, le temps (et bien plus !), peut et doit, être remis question un jour ou l’autre. Sans cela nous ne pourrions pas évoluer ou nous adapter.

Considérant que la ‘vérité’ est subjective et dépend selon notre représentation interne du monde, est t’elle nécessaire ? La sagesse et la connaissance doit t’elle être vrais ? Et si oui, comment pourrions nous être certain de cette véracité ?

Probablement que nous ne s’auront jamais la véritable réponse à ces questions. Toutefois, je croie que le plus important n’est pas la véracité de notre monde intérieur mais plutôt sa congruence et l’impacte qu’il a sur notre existence et cela sur toutes les instances (autant le présent ‘passé’ que ‘future’) du moment présent.

Paix et Sérinité.

jeudi 24 septembre 2009

Intention Paradoxale

L’intention paradoxale est la pratique délibérée d’une habitude ou d'une pensée névrotique, entreprise afin de les identifier et de les enlever. L’acceptation de cette névrose est souvent bloquée par la peur de ne pas pouvoir supprimer ses symptômes. L’échec à la suppression du comportement névrotique ajoute alors un sentiment d’insuffisance et de dépression au problème original.

La logothérapie encourage l’individu à intensifier leurs symptômes afin d’augmenter sa conscience face à leurs conséquences. Ceci aide également l’individu à percevoir l’absurdité de leurs symptômes.

Quelque part, cela me fait penser un peu à la catharsis pratiquée dans la psychanalyse, ou à la thérapie de régression si vous préférez. Après tout, il n’y a qu’à travers l’acceptation de soi la plus totale que nous pouvons dissoudre les sentiments négatifs qui perdurent.

Un peu comme la peur et l’anxiété, c'est souvent un danger hypothétique qui crée cette crainte. Elle apparaît face à des destinations ou circonstances inconnues. Toutefois, il suffit souvent de surmonter sa peur une seule fois pour la faire disparaître définitivement.

L’intention paradoxale est fréquemment utilisée pour traiter l’anxiété anticipatrice (la crainte qu’une conséquence spécifique se produise augmentant ainsi sa probabilité). Par exemple, dans le cas d’une personne qui à peur de ne pas pouvoir dormir, celle-ci a beaucoup plus de chance de s’assoupir si elle essaye de ne pas dormir car cela la délivre de l’anxiété anticipatrice (la peur de ne pas dormir) qu’elle aurait autrement.

Tout cela me fait un peu penser à cette expérience que j’ai vécue lorsque j’ai confronté mon inconscient le 8 février 2009. Je me suis imposé une action qui semblait normalement contradictoire à ce qui serait normal et par ce fait, j’ai pu remarquer à quel point ma névrose était des plus absurdes.

Depuis, avec le temps, j’ai appris que lorsque je ressens quelque chose, que ce soit positif ou négatif, il est fortement préférable de le vivre intensément et pleinement. Lorsque nous conservons ces émotions, cela ne fait qu’augmenter le désir (et donc l’avidité et la jalousie), ou, au contraire, l’aversion (la colère, rancune, etc.) envers le phénomène (objet, personne, évènement, etc.) en question.

Par notre refus et notre ignorance, nous restons attachés à nos désirs et donc à notre souffrance, espérant une délivrance éventuelle. Ouvrez les yeux mes amis ! Cette libération que vous recherchez se retrouve juste sous votre nez !

mercredi 23 septembre 2009

Futilité, Emprisonnement et Souffrance

Parfois on se retrouve dans des situations où tous nous semble futile. Ces situations peuvent agir littéralement comme une prison qui brime notre liberté et qui empêche l’expression de soi. Tel un écrou, où nous en sommes incapables de sortir. Nous obligent à entreprendre un comportement donné, souvent contre notre gré ou non désiré.

Avec le temps nous développons une forte familiarité à ceux-ci et la possibilité d’un futur différent n’en deviens rien de plus qu’un vague fantasme improbable. Cette familiarité devient même si puissante que lorsque nous sommes présenté à une opportunité, nous la rejetons systématiquement. Nous perdons toutes motivations et désires, acceptant l’état actuel comme étant la seule réalité possible.

Par la suite, nous justifions nos actions grâce à nos expériences passés, ce qui ne fait qu’alimenter ce dangereux cercle vicieux. Mais la douleur n’en n’est pas moindre car le vide s’en fait ressentir. À travers ce vide, et de par notre ignorance, apparaît alors la souffrance.

Les questions sur le sens de la vie touche de près chaque individu et atteint son paroxysme dans les circonstances douloureuses. Dans la nature de l'homme existe un instinct intrinsèque de vouloir connaître et comprendre le monde qui l'entoure. La recherche de sens questionne l'homme à chacune de ses actions ; dès qu'il accomplit quelque chose, il s'interroge pour savoir si sa démarche est dotée de sens.

Quand on ne trouve pas, l’envie de vivre vient à manquer, ce qui, à l’extrême, crée un sentiment de néant intérieur ou d’ennui profond. Ce « vide existentiel » peut dominer la vie des femmes et des hommes de tout âge. Il est aussi très répandu chez les jeunes. Il conduit, parfois, à la quête de pouvoirs, de plaisirs, au développement de maladies et de dépendances.

Nous pouvons résoudre cette problématique de 3 façons : Par nos actions, en expérimentant quelques choses (une valeur, nature, un art, un travail, etc.) ou rencontrant quelqu’un (amour, etc.), out par notre attitude envers une souffrance inévitable.

On ne doit pas focaliser sur les points faibles, mais sur les qualités et les meilleures possibilités de l’avenir, car toute personne, même malade, porte en elle une pureté. L’objectif est de récupérer l’estime de soi, la dignité, la volonté de ne pas admettre de se laisser imposer n’importe quoi par soi-même, et la capacité de se distancier de soi-même avec humour.

vendredi 18 septembre 2009

Perfection et Réalisation de Soi

Je me répète souvent en disant que l’imperfection fait partie intégrante de la perfection. Cela atténue donc le sens que nous pouvons donner à cette perfection. Toutefois, à nous qui sommes perfectionnistes, cela ne nous empêche pas de rechercher cette ‘véritable’ perfection, dans tout ce que nous faisons.

Je pense que l’une des plus grandes erreurs viens du fait que nous confondons cette perfection avec la réalisation de soi. Après tout, il est des plus ‘normal’ de désirer de se réaliser en temps qu’individu. Toutefois, la réalisation de soi n’indique pas forcément la perfection, mais bien le besoin d’accomplissement de soi, de réaliser son plein potentiel, de s’épanouir, de connaître, de comprendre et de s’exprimer.

Les erreurs et autres imperfections ne sont que des opportunités d’apprentissage qui s’offrent à nous. Lorsque nous vivons dans cet état de recherche de la perfection, nous évitons les erreurs mais également les apprentissages et les connaissances qui peuvent être acquis uniquement par ces derniers. De plus, nous généralisons et établissons des limites et croyances qui ne sont pas nécessairement vrai et qui ne font que limiter notre monde intérieur. Limitant ainsi notre potentialité d’acquisition des connaissances.

Les nouvelles inventions ne se sont pas créés en explorant ce que nous connaissions déjà mais bien en expérimentant de nouvelles choses dont les résultats nous étaient jusqu’alors inconnus. En suivant la route de la perfection, nous ne faisons qu’emprunter et reproduire un parcours qui à été suivi des milliers, voir même des millions de fois. Est-ce que nous devons essayer de nouvelles choses ? Absolument. C’est à travers l’expérience de nouvelles choses, en dépassant nos limites personnelles, que nous nous réalisons.

En fait, nous avons tendance à rester dans le monde ‘connu’, ce qui nous empêche de percevoir par-dessus nos barrières invisibles que nous avons crées, ne laissant donc aucune place à l’épanouissement de soi. Alors, la prochaine fois que vous rechercherez cette perfection, demandez-vous s’il s’agit vraiment d’une façon de vous réalisez ou plutôt de rester dans ce qu’il vous est connu et familier…

jeudi 17 septembre 2009

Les Yeux Fermés

Vous savez, nous disons souvent qu’il faut le voir pour y croire. Mais saviez-vous que parfois, il faut actuellement y croire pour le voir ? Lorsque nous sommes enfermé dans notre modèle de pensés noir et obscure nous ne pouvons pas percevoir cette lueur brillante, qui est pourtant belle et bien là, et qui nous montre le chemin.

Il faut alors ouvrir les yeux afin de voir au-delà de ces ténèbres. Pourtant, ces ténèbres nous paraissent souvent comme une source de réconfort, particulièrement lorsque nous n’avons pas connu mieux. Un vide constant, une douleur sur lequel nous pouvons compter. Elle fait partie intégrante de notre vie à un point qu’il peut être difficile de percevoir la vie différemment. Nous sommes habitués, voir même familier à cette douleur qui d’un certain sens nous protèges de ce monde extérieur, ‘terrifiant’ et ‘injuste’.

Comment discerner la lumière lorsque tout ce que nous avons vu n’est que noirceur ? Comment percevoir ce que nous ne pouvons pas concevoir ? Aussi mystérieux que cela puisse sembler être, sachez qu’il n’y a aucune magie. Vous avez le pouvoir d’arrêter cette souffrance à l’intérieur de vous. Arrêter d’attribuer votre bonheur et bien-être à ces éléments extérieurs aux allures majestueuses. Reprenez en main ce qui est votre !

Respirez, souriez, ouvrez votre cœur à ce monde qui vous entour. Vivez le moment présent avec intensité car chacune de ces secondes que vous vivez présentement sont uniques. Le passé à son utilité car il vous apporte des connaissances et une sagesse que vous n’aviez pas auparavant mais il ne doit pas affecter votre état de bien être actuel car seul le présent est et sera présent.

Que vous ayez vécu le meilleur ou pire passé n’a pas plus d’influence sur le présent que ce que vous être prête à lui concéder. Alors, soyez indulgent envers vous-même et ouvrez ce troisième œil qui est resté bien trop longtemps fermé sur ce magnifique univers qui nous entour. Parfois il faut y croire pour le voir…

Paix et sérénité !

Le Changement et l'Interdépendance

Ah le changement ! Beaucoup de monde désire des changements dans leur vie… Mais combien savent réellement ce qu’ils désirent ?

Vous savez, l’une des particularités du changement est qu’il prend du temps à ce concrétisé. Pourtant, dans la société de nos jours nous désirons tous instantanément. Parfois, il suffit d’ouvrir les yeux juste un petit peu pour percevoir ces changements, qui petit par petit vous guiderons là où vous désirez.

Parfois les circonstances ou notre environnement sont contre nous. Les obstacles se montent l’un après l’autre devant nous comme s’ils étaient complètement insurmontables. Face à de pareil condition, nous sommes souvent conditionné à réagir négativement ce qui ne fait que justifié l’état vécu sans pour autant nous aider à les traverser.

Il s’agit souvent de mauvaise habitude qui provient d’un de nos mécanismes d’autodéfenses telle la dépréciation (s’attribuer à soi/autrui des défauts exagérés), la rationalisation (dissimuler les motivations réelles de ses propres pensées/actes, derrières des explications rassurantes ou complaisantes, mais erronées), la projection (attribuer tort à autrui ses propres sentiments/pulsions), la dissociation (altération des fonctions d’intégration de la conscience/mémoire), le déni (refuser de reconnaître la présence de certains aspects extérieurs douloureux), etc.

Si vous pensez négativement, que ça sois consciencieusement ou non, il est plutôt absurde de s’attendre à percevoir les beautés de ce monde soudainement. Vous devez crée votre réalité ! Vous avez souffert assez longtemps, vous connaissez l’anxiété et la douleur que vos pensées actuel peuvent avoir sur vous… Êtes-vous réellement plus heureux dans l’ignorance, la méfiance, la jalousie, la dépendance et l’attachement ? Pourquoi ne pas crée quelques chose de plus lumineux ?

Absolument tout est interdépendant. La moindre chose (pensées, émotions, actions, etc.) qui nous entour à un impacte sur nous. Chaque succès, aussi petit qu’il soit, vous rapproche de ce que vous désirez. La joie attire la joie, le bonheur attire le bonheur. Par contre le contraire est également vrai ! L’anxiété attire l’anxiété, la méfiance attire la méfiance, etc. Rappelez-vous que la pensé créer !

Acceptez-vous comme vous êtes et prenez le temps de vous apprécier car nous le faisons que trop rarement !

Paix et sérénité, mes amis !

lundi 14 septembre 2009

Cessez de chercher !

J’ai remarqué que pratiquement tout le monde avec qui je parle souffre d’un ou de plusieurs éléments psychologiques néfastes. Vous savez, c’est un peu triste quand ont y pensent. Il s’agit souvent de peine d’amour/dépendance affective, anxiété/stress, trouble existentiel, manque de reconnaissance ou/et de confiance en soi.

Certains sont impulsifs créent des troubles au niveau relationnel, d’autres seront terriblement déprimés par la vie pour diverses raisons (dettes, etc.). Combien de personnes attribut une raison existentiel à un amoureux ou à leurs enfants ?

Beaucoup de monde sembles souffrir d’expériences passés, souvent du à un environnement néfaste à l’apprentissage (famille absente ou/et apprentissage inadéquat, victime d’acte criminel, peine d’amour, drogue/alcoolisme, etc.). La liste est relativement longue…

Tout cela est du à l’attachement, conditionné par l’ignorance. Nous souffrons et fessons souffrir, et cela souvent contre notre grés, tous le monde qui nous entour. Non seulement nous attribuons bonheurs et plaisir à des objets et phénomènes qui en sont souvent dépourvue mais nous oublions souvent que rien n’est permanent ou fixe.

Nous sommes anxieux car nous ne voulons pas décevoir les autres. Nous désirons l’amour car nous ne voulons pas finir nos jours seul, que nous désirons être accepté et aimé, ou simplement afin de donner un sens à notre existence.

Nous voulons être accepté et apprécié comme nous sommes, et pour cela, nous somme souvent prête à faire pratiquement n’importe quoi pour y arrivé, même au dépend de notre propre bonheur.

Il ne fait aucun doute que l’amour est l’une des forces les plus puissantes de l’univers. Toutefois, je pense que ça conception est souvent mal interprété. On y accorde souvent les valeurs extrinsèque d’attachement, de passion, de dévotion et de sacrifice. Ce que nous ne remarquons pas par contre c’est qu’il s’agit en faite d’un amour égoïste, ingénieusement déguisé par cette souffrance qu’on s’impose à soi.

Nous avons appris que l’amour de soi est mal, qu’il vaut mieux se soucier des autres, et surtout ne pas s’accorder d’importance. Agir autrement ne serait que complaisance, égocentrisme et narcissisme. Aller contre soi-même nous permet de mériter le bonheur, comme prix de notre sacrifice, comme prix d’une mortification de l’amour de soi. Si une chose doit être faite, par pur devoir, contre notre propre sensibilité, alors c’est assurément qu’elle est bonne.

C’est sur ces bases que nous créons cette grande ‘Amour’ que recherchons. Nous quantifions notre amour selon les sacrifices que nous fessons. Plus nous donnons, plus nous ‘aimons’, n’est-ce pas ? Mais nous désirons également d'être aimé, que cette personne nous rende heureuse. Un désir qui peut ce montré plus néfaste qu’il n’en parait !

À travers tout ces sacrifices ce formes une sorte d’attente. Après tout nous avons ‘acheter’ le droit d’être aimé et heureux par nos sacrifices. Mais alors cette amour ne devient tel pas qu’un simple besoin égoïste ? L’attente que la personne aimée comble les ‘manques’ immatériels ou matériels que nous ne serions pas capable de satisfaire par nous-mêmes.

Inévitablement, cette personne ne pourra pas nous satisfaire car absolument rien n’est permanent et qu'aucun phénomène ne peut nous satisfaire de manière ultime et définitive. Alors nous souffrons afin d’alimenter notre souffrance, n’est-ce pas en quelques sorte ironique ?

Cet amour passionnel, n’est alors qu’un attachement à des désirs crée par notre égo puis conditionné par notre ignorance. Acceptez vous comme vous êtes, prenez soin de vous et surtout, apprenez à vous appréciez car vous êtes, chacun et chacune, des créatures uniques et magnifiques.

Cessez de chercher, de vous tourmenter avec ce grand amour, car il est plus proche que vous ne le croyez. Regarder à l’intérieur de vous, dans les profondeurs de votre cœur et vous le trouverez, brillant de tout ces éclats.

Paix et sérénité.

jeudi 10 septembre 2009

Création Psychique

Le pouvoir de l’imagination ! Avec l’aide du subconscient, il est possible de faire pratiquement n’importe quoi. Malheureusement, ce talent non seulement fonctionne également à l’inverse (créant des éléments limitatif) mais est utilisé ainsi la majorité du temps par notre subconscient.

Nous avons tous le pouvoir de réaliser ce que l’on désire, d’être bien dans notre peau, d’être heureux et de réussir ce que l’on entreprend mais nous ne l’utilisons pas (si ce n’est que pour crée des obstacles insurmontables la majorité du temps !).

Il ne faut absolument pas douter du pouvoir de l’imagination, que cela provienne des rêves et fantasme ou de la pensé positive et négative. Nous attirons ce que nous pensons et surtout, ressentons. Nos croyances peuvent nous servir de guides mais nous limites souvent à travers notre développent personnel.

La création psychique est l’un des éléments centraux utilisé par la majorité des thérapies. Que ce sois la loi de l’attraction, la pensé positive, psychothérapie, la PNL, l’hypnose Ericksonienne, etc.

Nous créons ce que nous croyons, et nous croyons ce que nous percevons. Finalement, cette perception est influencée par les stimuli perçus et particulièrement nos connaissances passées.

Accepté vous comme vous êtes ainsi que la situation actuelle, demander ce que vous voulez et croyez-y. Que cela sois véritable ou non selon votre perception n’a que très peu d’importance. Notre perception est déjà remplie d’illusion, certaine positives, d’autre négatives. Il est fortement préférable d’utilisé une illusion qui à un impacte positif que le contraire. Alors pourquoi douté ?

Lorsque vous désirez quelques choses, que ce sois un changement d’habitude ou d’une manière d’être, utiliser votre imagination. Vivez ce moment ainsi que tous les détails qui y sont attaché comme s’il était réel présentement. Mieux vous imaginez les détails et meilleurs seront les résultats. Votre subconscient s’imprégnera de cette pensé et vous aidera à l’atteindre. Cela est fait sans effort et souvent de façon inconsciente.

C’est un peu comme si vous gagnez de l’expérience et de l’assurance face à une situation probable sans même l’avoir vécu ! Excellent contre l’anxiété, le changement d’habitude et le perfectionnement de compétence. Il est important de savoir précisément ce que l’on désir, car sinon nous risquons de ne pas percevoir les opportunités qui nous seront offert.

N’oubliez pas que ce que vous désirez doit être prononcé au présent, possible selon vous, positif et affirmé avec détermination. Vous pouvez également l’écrire sur un morceau de papier si vous le désirez. Vous serez surpris des résultats que vous pouvez atteindre !

En espérant que tout vos rêves ce réalises, je vous souhaite une très belle après-midi !

Ignorance, Illusion et Sagesse

Il y a les choses que nous savons et d’autre un peu moins, voir même, pas du tout ! Il est relativement facile de distinguer ce que nous savons de ce que nous ne savons pas. Toutefois, il est moins évident de percevoir ce que nous ne connaissons pas. Leurs impactes n’en n’est toutefois pas moindre.

Ignorer les concepts de la gravité ne permet pas une personne de voler. Tout comme l’ignorance de la loi ne donne pas raison à un criminel de l’enfreindre. Nos connaissances nous permettre d’avoir une perception plus juste (ou parfois erroné) de celle-ci mais ne nous permet pas d’en altéré sa nature.

Certain rêves et illusions peuvent nous sembler réels mais il n’en reste pas moins qu’une simple forme de biais cognitif par la perception de nos sens. Notre perception de la réalité est donc altérée par nos connaissances passées. Une chose qui peut nous sembler véridique ne l’es donc pas forcément.

Notre perception est similaire à une carte routière. La carte représente les routes d’un état ou d’un pays mais ne l’es pas pour autant. Souvent juste, elle peut parfois être erroné ou simplement pas à jours.

Nous percevons certaine choses comme bonne, et d’autres comme mauvaise. Mais combien de ces choses l’es vraiment ? En faite, nous nous conditionnons régulièrement à percevoir les choses mauvaises comme étant bonnes et vice versa. Il n’y a donc aucun doute que nous pouvons être mal dans notre peau malgré le fait que fessons que ce nous percevons comme étant le mieux pour nous.

Seule la sagesse juste peut nous permettre de bien percevoir la réalité. Mais comment être sûr qu’elle soit juste et qu’il ne s’agit pas simplement d’une autre illusion ? Le concept de la réalité elle-même pourrait être une immense illusion partagée par la société, un peu comme lorsque nous considérions la Terre comme étant plate.

La connaissance ne se retrouve pas dans la méfiance ou la crainte, qui sont eux-mêmes des produits de l’ignorance. La connaissance s’acquiert à travers le temps et l’expérience, à travers nos erreurs et nos réussites, et cela grâce à la clarté d’esprit, la compréhension, l’acceptation de soi et de toutes choses, et cela de façon détaché.

Psychologie Clinique (Introduction)

Je dois admettre que ce cours est beaucoup plus simple que celui sur la perception ! En fait, il s’agit d’une introduction au champ de la psychologique clinique.

La psychologie clinique implique l’application de principe, méthodes, et procédures pour réduire ou alléger les malformations, handicap et douleur sur une large clientèle. Ces titres et pratiques sont régulés par des organisations professionnelles (comme l’Ordre des Psychologue au Québec) et selon les états.

Certains formations spécifiques peuvent être nécessaire afin d’acquérir différent types de licences. De plus, certain trait personnel, tel l’attitude clinique, le bon jugement, et la stabilité émotionnelle, sont demandé afin de pratiquer la profession adéquatement.

Étant l’une des principales professions en santé mental, la psychologie clinique chevauche avec les autres professions en santé mental mais est distingué par une formation psychologique qui est orienté en même temps vers la recherche et la pratique. Il s’agit de la spécialité la plus grande et la plus populaire à l’intérieur du cadre de la psychologie.

Les psychologues cliniciens investissent la plupart de leur temps professionnel engagé dans l’évaluation, la psychothérapie, la recherche, l’enseignement, la consultation et l’administration. Les activités qu’ils s’engagent et les clients qu’ils rencontrent sont fortement affectés par l’environnement de travail, les préférences personnels, leurs formations, et autres facteurs sociaux.

Les cliniciens sont employés dans une variété d’environnement, incluent la pratique individuel et de groupe, les hôpitaux diverses, les communautés en santé mental, les départements en psychologie des collèges et universités et écoles médical, le gouvernement, les agences, corporations privées et autres. Dans ces cadres, ils rencontrent des clients d’une variété milieu culturel et avec une variété de problème différent.

Le salaire des cliniciens varie selon le niveau de leurs formations, l’environnement de travail et les facteurs régionaux mais est similaire avec beaucoup d’autres professions qui possèdent le même niveau d’apprentissage. Auparavant dominé par les hommes caucasien, le domaine à maintenant un plus haut pourcentage de femmes et de minorité ethnique que dans le passé.

La psychologie clinique combine la science et la pratique mais un mélange approprié des deux est matière à un débat qui c’est intensifié alors que le besoin d’établir des pratiques claire basé sur les évidences en psychologie clinique à grandi. Ce besoin vient à la fois à l’intérieur de la profession et des organisations externes qui subventionnent et payent pour les services cliniques.

À la lumière des changements à l’intérieur de la profession et à l’intérieur de la société grandissante, les psychologues cliniciens continuent à examiner leur modèle d’apprentissage, particulièrement les modèles (Boulder et Vail) dominant qui conduit au degré PhD et PsyD.

Ils doivent aussi penser plus attentivement à propos des moyen d’intégrer et de combiner les diverses approches psychothérapeutique existantes. Les organisations d’administration des soins ont beaucoup influencé la pratique clinique et vont continuer de le faire. Les facteurs culturels et légaux affectent le domaine également, comme illustré par le sort de la législation exigent la parité de la santé mental et le privilège d’ordonnance pour les cliniciens.

Phew ! C’est un bon petit résumé de ce cours !

Psychologie de la Perception (Psychophysique et Méthode de Détection, Part II)

Loi Weber (1831)

Weber à découvert qu’il était difficile de détecter une différence lorsque la différence entre deux stimuli étais petite alors qu’il était beaucoup plus facile lorsque la différence était plus grande (comme expliqué par le seuil absolue dans l’article précédent). Toutefois, il a aussi avancé que le seuil de différence était proportionnel à l’intensité du stimulus. En faite, cette loi est correcte la majorité du temps aussi longtemps que nous ne sommes pas trop proche du seuil absolue.

Loi de Fechner (1860)

La loi de Fechner à repris le concept de Weber en ajoutant que l’intensité de la sensation (seuil de différence) varie proportionnellement au logarithme de l’intensité du stimulus.

Loi d’estimation de puissance – Stevens (1957)

La loi d’estimation de puissance représente la relation entre la sensation (seuil de différence) et l’intensité physique. Selon Stevens, ces derniers suivent une relation de type exponentiel où la sensation est proportionnelle à une puissance de l’intensité du stimulus donné.

Théorie de la détection du signal

La même intensité d’un stimulus peut parfois être détecté et parfois non. Ceci est dû à diverse raison, tel : les activités neuronales sensorielles spontanées, le bruit neuronal, la fatigue, l’attention ou la motivation du sujet. La tache de l’observateur est de déterminé si la sensation expérimentée provient du signal ou du bruit.

Si la personne détecte une sensation alors qu’il n’y a pas de signal, il s’agit alors d‘une fausse alarme. Dans le cas contraire où le signal est présent, il s’agit alors d’une détection correcte.

Généralement un haut taux de détection indique également un haut taux de fausse alarme. Cela peut arrivée si le sujet est particulièrement motivé à détecter le signal par exemple. Le contraire est également vrais, un taux bas de détection indique souvent un faible taux de fausse alarme.

mercredi 9 septembre 2009

Psychologie de la Perception (Psychophysique et Méthode de Détection)

Il existe deux niveaux d’analyses dans l’étude de la perception. La psychophysique et la physiologique. La psychophysique est reliée aux stimuli dans l’environnement. Il s’agit de l’étude de la relation entre la perception et le stimulus. La physiologique quand à elle s’intéresse au processus dans le corps (transduction, traitement nerveux, etc.). Il s’agit donc de l’étude de la relation entre le stimulus et la réponse neuronale. Toutefois, la première partie du cours s’intéresse particulièrement à la psychophysique.

Avant de débuter avec les méthodes utilisés pour mesuré la détection/perception d’un individu, il est important d’expliquer les notions de seuil.

Le seuil absolu de détection est la quantité minimale d’énergie physique (provenant d’un stimulus) nécessaire pour le détecter. Par exemple, il peut être difficile de faire la différence entre une foule de 10,000 personnes et une de 10,005 personnes. Toutefois, il est beaucoup plus facile de faire la différence entre 1,000 personnes et 10,000 personnes car la différence ce retrouve au delà du seuil absolu de détection.

Le seuil différentiel est la plus petite différence entre 2 stimuli pour produire une perception juste perceptible. C’est-à-dire, qu’elle sera perceptible environ 50% du temps.

En psychophysique, il existe plusieurs méthodes permettant de mesurer la perception d’un stimulus. Parmi les méthodes principales de détection nous retrouvons la méthode des limites, la méthode d’ajustement et la méthode des stimuli constants. Ces trois méthodes ont été établies par Fechner en 1980 avec l’aide de la loi de Weber.

La méthode des limites consiste à plusieurs séries de stimuli d’intensité croissante et décroissante présenté devant le sujet. Celui-ci doit indiquer s’il perçoit ou non le stimulus. Par la suite on n’établie le seuil absolue selon la moyenne obtenu. Il s’agit d’une méthode simple et rapide mais qui peut contenir des erreurs d’anticipation et de persévération.

Durant la méthode d’ajustement, le sujet change graduellement l’intensité du stimulus jusqu’à ce qu’il soit à peine détectable. La moyenne des niveaux intensités perçue est alors utilisée comme seuil absolue. Il s’agit d’une méthode encore plus simple et rapide que la précédente mais possède un seuil incertain ainsi qu’une très grande subjectivité dû au grand contrôle de la part du sujet.

Finalement, la méthode des stimuli constants est la présentation aléatoire de stimuli d’intensité variable où le sujet doit indiquer s’il perçoit ou non le stimulus. Grâce au résultat obtenu, nous déterminons le seuil absolu à partir d’un tableau contenant la moyenne des niveaux d’intensité détectée. Le seuil absolu est pris à partir du point d’égalité subjective, indiquant généralement 50% des détections durant les essaies. Il s’agit de la méthode la plus précise mais aussi de la plus longue et complexe.

J’avoue que ce ne doit pas être évident à comprendre sans graphique… enfin !

Assez pour cette nuit, à demain !

Psychologie de la Perception (Processus Perceptif)

J’ai décidé de transcrire un très court résumé de mon cours afin de m’aider dans mon apprentissage. Il est fort possible que je fasse de même avec mes autres cours si j’en trouve le temps.

Premièrement, deux terminologies importantes.

Sensation : La sensation est le traitement primaire de l’information par le système nerveux à la suite de la stimulation d’un organe sensoriel (visuel, auditif, kinesthésique, etc.).

Perception : La perception est le traitement secondaire d’information par le système nerveux qui permet d’interpréter les stimulations sensorielles. Il s’agit d’une construction à partir de connaissances antérieurs, attentes, motivations, émotions de la part du percevant afin d’attribuer une signification au stimulus. En bref, il s’agit de l’expérience sensorielle ou si vous préférez, comment le stimulus est ressenti par l’individu.

Une chose importante à ce rappeler est que tout ce que nous voyons, entendons, goutons, ou sentons est filtrer à travers les mécanismes de nos sens. Ceci veux dire que ce que nous percevons n’est pas seulement déterminer par notre environnent mais aussi par les propriétés de nos sens.

Le processus perceptif

La perception implique une séquence d’étape qui s’appelle le processus perceptif. D’une façon plus vulgaire, on peut dire que la perception fonctionne un peu comme le processeur d’un ordinateur. Il y a l’entré d’information, le traitement puis la sortie d’information

Le processus débute par un stimulus environnemental (inclue tout les choses dans notre environnement que nous pouvons potentiellement percevoir). Lorsque nous concentrons notre attention sur un élément particulier, celui-ci devient le centre de notre attention. Le centre de notre attention change de temps en temps selon l’emplacement où nous désirons porter notre attention.

Nos organes sensoriels recueil alors l’information et le transforme en énergie électrique. La transformation d’une forme d’énergie à une autre forme d’énergie est appelé la transduction.

Une fois l’information transformé en signal électrique, cette énergie active les neurones qui eux traite l’information. Il s’agit du traitement nerveux du stimulus.

Par la suite, nous avons la perception du stimulus, qui comme indiqué auparavant, est l’expérience ressenti.

Toutefois, le parcourt ne s’arrête pas ici. Une fois le stimulus perçu, nous devons procéder à la reconnaissance de l’objet. Il s’agit de notre habilité à donné un sens à ce stimulus.

Finalement, nous avons la réaction comportementale au stimulus. Il peut s’agir par exemple d’un simple déplacement en réponse aux stimuli ressentis.

Il est important de noter que le traitement nerveux et la perception du stimulus est influencé par les facteurs cognitifs (les connaissances, expériences passés, etc.) de l’individu.

‘Alors qu’une partie de ce que nous percevons viens des objets devant nous, une autre partie (et probablement la plus grande) vienne toujours de notre propre pensé.’

Deuxième journée à UQAM

Et oui, l’université à déjà commencé ! Il y a beaucoup plus de monde à l’automne que durant l’été. Je me sentais tout petit entouré de tous ces jeunes ! À date il semble qu’il y a beaucoup plus de fille que de gars dans mes cours et je dois admettre qu’il semble y avoir beaucoup de lecture en perspective.

J’en ai aussi profité pour faire ma demande d’admission pour mon certificat en Psychologie pour cet hiver. J’ai bon espoir que cela marchera mais dans le cas contraire, je prendrai d’autres cours en temps qu’étudiant libre et je suivrai peut être une formation de praticien en PNL.

Je dois admettre que les livres sont légèrement dispendieux… mais fort intéressant (heureusement !). À par cela, j’ai bien hâte au 16 septembre pour m’inscrire au cours d’escalade au centre sportif.

Sur ce, je vous souhaite une belle soirée ! Tourlou !

L’Autojustification, Plainte et Victimisation

Avez-vous remarqué que non seulement nous chialons souvent mais nous aimons cela ? Mais d’où vient ce plaisir que nous éprouvons à nous plaindre ?

Ce que nous fessons ou pensons est pratiquement toujours bien mais pas ce que les autres font ou pense ! Combien de personne à été abusé par une personne qu’il ou qu’elle aimait ? Par contre, ils semblent toujours tout avoir plus que nous et nous ne comprenons pas pourquoi !

Tout cela est dû à une dualité dans notre égo, le moi et le non-moi. Nous nous comparons aux autres et démontrons que nos actions sont meilleurs que ceux des autres. Puis nous justifions nos actions selon notre perception de la réalité.

Dans la société de nous jours, les fautes et erreurs sont très mal vues et tout le monde recherche la perfection. Toutefois, on n’oublie souvent deux choses très importantes. Premièrement, c’est a travers de ces ‘fautes’ que nous inventons et apprenons de nouvelle chose. Chaque erreur est une magnifique opportunité d’apprentissage.

Deuxièmement, l’imperfection fait également partie de cette perfection que nous recherchons tant. Je dirais même qu’il s’agit de cette synergie entre l’imperfection et la perfection qui permet à la vie d’être aussi coloré et merveilleuse !

‘Ce n’est ni la qualité de notre passé, ni même les résultats futur qui détermine notre bien-être actuel mais bien comment notre moment présent est vécu.’

Si vous avez été comblé toute votre vie et que soudainement vous ne l’être plus, vous ne serez pas plus satisfait que c’elle qui n’a jamais reconnu ces mêmes besoin. Au contraire, vous risquez d’utiliser ce passé qui vous semblais si parfait comme point de référence et de comparaison à votre réalité actuel, ce qui ne fera qu’augmenter le vide qui ce trouve entre l’état désiré et l’état actuel, et donc, votre insatisfaction.

Mais pourquoi chercher à avoir raison ? Pourquoi devons nous nous justifier constamment ? Afin d’attirer l’attention, de combler un besoin et voir même, manipuler notre entourage ?

Depuis notre plus jeune âge, nous avons appris différente technique pour attirer l’attention. Nous voulons bien faire et réussir afin que le monde proche de nous en soit fière et nous apprécie mais cela n’est pas toujours facile. Nous avons donc développé d’autres façons d’attirer l’attention. Ceci inclus le pleurnichement, gémissement ou simplement, la ‘victimisation’.

Par ce procédé, la ‘victime’ attire l’attention grâce à la pitié des autres afin d’atteindre ce qu’il désire. Puis elle ce justifie; ces actions, sa situation, son comportement, ses émotions, etc. Toutefois, cette justification, souvent inconsciente, est forgée à partir d’un contexte erroné et subjectif. Il est donc possible qu’elle soit vrais ou non mais la vision globale de cette dernière est caché par sa subjectivité. Pour la victime, elle semble non seulement vraie, car elle a été crée par elle de toute pièce, mais forme un obstacle qui peut paraitre pratiquement insurmontable.

Si une personne la contredit, cela ne fait que renforcé sont comportement négatif en démontrant qu’une fois de plus elle n’est qu’une victime de la société, incomprise, etc. Bien sûr, si une personne confirme ces plaintes et gémissements, cela ne fait que confirmer sa justification, renforcent également sont comportement négatif. La personne ce conditionne alors à être véritablement une victime. Une magnifique double contrainte, n’est-ce pas ?

Mais vous savez, pratiquement la totalité de la difficulté perçu d’un obstacle vient du fait que nous le percevons comme un obstacle. Au final, comme à l’origine, tout provient de l’ignorance. L’ignorance conditionne les formations mentales, et donc l’égo, nos croyances, désirs et perception de la réalité.

vendredi 28 août 2009

Travail et Société

Nous travaillions pour plusieurs raison, souvent pour des raisons financières, des fois pour le prestige et parfois par pur plaisir ! Certain en ferons même une raison d’existence. Quand à moi, ce qui m’a toujours le plus motivé était principalement le plaisir que je pouvais en tirer. Malheureusement, ce plaisir c’est transformé en obligation avec le temps.

Il en vient un temps où si l’on désire continuer à progresser nous devons changer certaine choses. Ce n’est pas toujours facile, particulièrement dû à la familiarité qu’on développe avec ces derniers. Mais il est important de s’adapter si nous désirons changer, évoluer et avancé.

Aujourd’hui, ce que je désire ne ce retrouve plus dans ce que je fais. Je veux apprendre de nouvelles choses, et un peu comme un rêveur idéaliste, aider le monde à mieux vivre. L’insatisfaction et la souffrance ce retrouve tout autour de nous. Une souffrance revêtant trois aspects : la souffrance physique et mentale ; la souffrance causée par le changement ; la souffrance causée par le conditionnement. La souffrance imprègne tous les niveaux d'existence, des plus bas aux plus élevés, y compris ce que l'on tient habituellement pour des états agréables.

Je rêve de connaissance et sagesse, d’une compréhension parfaite, d’une pensée juste (dénuée de haine, d’avidité et d’ignorance), d’une clarté d’esprit total… De surmonter ce qui est défavorable et d’entreprendre ce qui est favorable. D’une vision profonde de la réalité et de ces différentes facettes qu’elle projette sur nous.

Malheureusement la société d’aujourd’hui nous conditionne au plaisir préfabriqué. On apprend rapidement que l’argent est nécessaire pour survivre et on n’oublie souvent l’essence même de la vie. Elle nous encage dans des dogmes et stéréotypes qui nous restreignent et empêche notre épanouissement. On vient à accorder de l’importance, voir même désirer et dépendre, des éléments externes qui originalement ne fessait pas partie intégrante de notre bonheur.

Nous consommons pour comblé nos manques qui sont eux même crée par cette même consommation. Plus on s’empiffre et plus on n’en désire d’avantage. Pourtant rien n’est éternel, pas même cette tendre satisfaction que l’on désir tant… Il est temps de briser ces chaînes ! De ce libérer de cette souffrance qui nous engouffre peu à peu. Nourrit par sa propre existence, il faut couper la tête de la bête !

Lundi est ma dernière journée de travail, un repos bien mérité. À naviguer vers de nouveau horizon. Ne regardant pas derrière moi, je me prépare à redécouvrir ce monde que j’ai oublié depuis si longtemps, tel un jeune humain qui ouvre les yeux pour la première fois. La fin n’est que le début d’un nouveau commencement !

Paix et sérénité.

Méfiance, Soupçon et Paranoïa !

Beaucoup de personne développe une forme de méfiance lorsqu’il ce retrouve trahi par une personne qui leur est chère. Ils pensent qu’ils ont été naïfs et que jamais ils ne feront confiance à une personne. Toutefois, cette méfiance n’est enfaite qu’une forme de défenses réactionnelles contre l’angoisse et la perte de control d’une situation que l’on prenait pour acquis (perte d'un état qui nous était familier).

Malheureusement, méfiance et susceptibilité nourrissent l'attente d'être trompé par autrui. Cette attitude peut finalement amener directement à la tromperie ou les cachotteries de la part de l'entourage, qui par retour, justifieront la méfiance... Le patient manque d'introspection, ne se remet que peu en cause, cache ses sentiments de peur que l'on ne s'en serve contre lui. Il discerne des significations cachées, humiliantes ou menaçantes, dans des évènements anodins, ce qui en quelques sorte le conditionne à rester dans cette état de méfiance perpétuel.

Dans une forme de cercle vicieux, la méfiance ne fait que s’alimenter elle-même en provoquant un comportement qui ce justifie par lui-même. Alors, comment sortir de ce cercle ?

Premièrement, il est important de comprendre l’origine de cette méfiance : l’ignorance. Cette ignorance, et les illusions qu'elle entraîne, conduisent à l'avidité, au désir de posséder davantage que les autres, à l'attachement et à la haine pour des personnes ou des choses. L’égo et le désir mélangé avec l’impermanence et l'ignorance donne naissance à l’insatisfaction. Colère, avidité, orgueil et jalousie en découle alors.

Prisonier de notre petit univers dualiste, nous ne voulons pas souffrir, alors nous développons un état de défense et vigilance afin d’éviter que cela ce reproduise à nouveau. C'est-à-dire, la méfiance. Toutefois, comme aucun phénomène ne peut nous satisfaire de manière ultime et définitive, nous ne fessons que nous enfoncer de plus en plus à l’intérieur de nos croyances paranoïaques. Cela nous conduit à penser que nous nous portons tout à fait bien, et que les autres sont responsables de notre malheur.

Heureusement, il existe plusieurs façons de sortir de ces motifs malfaisants. Evidement, la sagesse et la prise de conscience peut aider grandement. Si l'ignorance en n'est la source, alors la sagesse en n'est le remède! Comprendre la véritable source de notre méfiance et la réalité qui y est attaché. Percevoir au-delà de nos croyances limitatives et de nos barrières invisibles aide beaucoup.

De plus, il est important de noter que le développement de l'empathie et de la compassion, nous permet de percevoir les choses sous un autre angle, de se mettre à la place des autres et adopter des points de vue différents ce qui nous permet de mieux appréhender la situation, avec compréhension et sagesse.

Sur ce, je vous souhaite à tous une excellente journée !

mardi 25 août 2009

La Familiarité et le Changement

Le désir pour ce qui est familier, pour que les choses soi les même qu’il était hier, pour la permanence de ces derniers, à une longue histoire. L’être humain possède une résistance naturelle au changement radical. Après tout, ce que nous avons fait hier nous à permis de survivre aujourd’hui.

Il ne faut pas oublier que l'impermanence s'avère la cause de la souffrance, car ce qui est impermanent n'est pas satisfaisant. Toutefois, l'impermanence est aussi promesse de changement.

Bien sûr, le monde ne désire pas consciencieusement que les choses restes les même qu’ils étaient hier. Mais il s’agit de notre inconscient qui commande, et notre inconscient sais très bien que c’est ce que nous avons fais dans le passé qui nous a permis d’être ce que nous sommes présentement.

Certaine personnes pourront dire ‘Mais j’ai travaillé sur moi-même pendant des années, je devrais avoir fini’. Mais il s’agit en fait de ce même petit problème de familiarité. Si vous avez travaillé sur vous-même pendant des années, alors ‘travaillé sur vous-même’ vous est surement devenu familier.

D’autres diront ‘Mais j’ai essayé de changer’. Encore une fois, ‘essayé’ vous est probablement devenu un état familier. N’importe qui luttant pour n’importe quel période de temps devrait considérer la possibilité que cette ‘lutte’ elle-même lui soit devenue familière.

Il est important de comprendre que cette familiarité est essentiel afin de conservé un certain équilibre pour notre survie. Imaginer vous si la température de votre corps pourrait augmenter soudainement de 20 degrés, vous mourriez instantanément. Cette équilibre interne au centre de notre organisme est appelé homéostasie.

Lorsque nous rencontrons un changement, notre ‘détecteur de familiarité’ de notre système nerveux envoie un message d’avertissement à notre cerveau. Par la suite, notre système entreprend les actions nécessaires afin de revenir à un état stable. Malgré cela, il existe plusieurs façons d’apporter des changements dans notre vie.

Premièrement, prenez un regard honnête aux circonstances de votre vie et demandez vous ce que vous avez du croire afin d’avoir ces résultats. Une fois que vous avez une idée de ce que sont vos croyances, accepté vous exactement comme vous êtes. N’oubliez pas que : ‘Ce que vous résistez persiste, mais ce que vous acceptez disparaît.’

Accepter une situation n’est pas la même chose que dire que vous l’aimez, que vous êtes content avec ou même que vous êtes prête à vivre avec. L’acceptation indique uniquement que vous reconnaissez la réalité de la situation actuelle. Certaine personne utilise le terme ‘pensé positive’ pour niez la réalité de la situation actuelle. Ceci ne fait qu’empirer la situation. L’acceptation est l’opposé du déni. Lorsque vous acceptez la réalité de votre expérience actuelle, vous vous libérez d'apporter le changement que vous désirez.

Finalement, relaxé et profité du voyage. Nous vivons dans une société qui accorde beaucoup de valeur au résultat. Ceci implique que le succès, le bonheur et la satisfaction sont dépendants de la réussite personnelle, chose qui est externe et souvent distant. Toutefois, la majorité de la vie prend place durant le processus de ces résultats et non des résultats eu même. Ce n’est pas le résultat mais bien le chemin que l’on entreprend pour y parvenir qui compte.

Comme le philosophe Kierkegaard disait : ‘La vie n’est pas un problème à résoudre, mais bien un mystère à vivre.’

Dialogue Interne

Aujourd’hui je vais vous parlez de la communication avec soi, dont la plupart d'entre nous connais cela comme étant la `pensée'. Une partie principale de la ‘pensée’ est comment nous parlons à soi-même ou à notre 'dialogue interne'. Parler à soi même est quelque chose la plupart d'entre nous fessons constamment tout les jours et est probablement l’un des principales facteurs qui crée les obstacles dans notre pensé souvent, mais pas toujours, par anticipation d’un évènement ou situation qui n’appartiens pas au présent.

Par exemple, le monde ce demande fréquemment ‘Que faire si les choses vont mal ?’, ‘Pourquoi est-ce que je semble toujours me retrouver comme un idiot ?’ ou ‘Comment se fait-il que ma vie sois tout en désordre ?’. Pour chaque question nous percevons une réponse, et habituellement il s’agit d’une combinaison de sentiment et de forme de pensé négatif.

Au lieu de cela, si vous pouvez poser des questions différentes, votre cerveau s'habituera à penser d'une manière différente. Si nous pouvons parler à soi même d’une façon plus utile, cela nous aide à trouver des solutions à nos problèmes, ainsi qu’a devenir généralement plus heureux et effectif dans tous ce que l’on fait.

Les questions à demander pourraient être ‘Quel est la chose la plus utile à faire ?’, ‘À quel point je m’améliore présentement ?’, ‘Comment je peux améliorer cette situation ?’, ‘Comment je peux faire fonctionner ces choses sans me soucier ?’, ainsi que ‘Qu’est-ce que je peux apprendre de cela ?’.

Des questions comme ces dernières permettent à votre cerveau de se concentrer sur des façons de penser plus utiles et de nous permet d'avancer, de changer et s'améliorer. Il existe plusieurs façons de transformer notre dialogue interne en quelques choses des plus utiles. Par exemple, la chanson ou la nature.

À l’exception possible des chansons avec un lyric violent et suicidaire, chanter ou fredonner une de vos chansons préférées peut vous aider de façon remarquable avec votre monde interne. De même, rien ne peut battre le son d’une chute d’eau, des vagues sur un rivage de mer ou des bruits de la forêt. Ces derniers vous permettent d’atteindre un état interne d’harmonie avec nous-mêmes.

Paix et sérénité à vous tous!

jeudi 20 août 2009

Apprenti Psy !

Cela fait près de deux semaines que je n’ai rien posté sur mon blog. Alors quoi de neuf ? Et bien je quitte mon travail le 31 aout... J’ai aussi décidé d’ajouter un cours de plus pour ma session d’automne à UQAM ce qui devrais me garder bien occupé!

Durant cette session je vais me concentrer principalement sur mes études. Comme vous devez vous en doutez, j'adore apprendre de nouvelle chose. Particulièrement lorsque ces choses correspondent à mes champs d’étude favoris. C'est-à-dire, le subconscient, la perception et motivation de l’individu, et tous les aspects neurologiques qui y sont reliés. De plus est, il est bon de savoir que mes connaissances et aptitudes psychologiques et spirituels sont fortement influencé par la programmation neurolinguistique (incluent l’hypnose Ericksonienne), la science neurologique, ainsi que la philosophie Zen.

Toutefois, n’hésiter pas à me contacter si vous avez des questions, peut importe le sujet, cela me fera plaisir de partager du temps avec vous, et bien sûr, de vous répondre !

Au plaisir de vous rencontrez…

Je vous souhaite tous une belle, douce, et surtout très agréable soirée !

- Fred, Apprenti Psy !

jeudi 6 août 2009

L’Harmonie

Ce chant, état de perfection, doux comme une mélodie, elle transcende le talent et l’expertise, au-delà des connaissances, elle guide l’intuition. Derrière l’ordre et le chaos, par-dessus la logique et la créativité, plus loin que l’espace et pourtant plus proche que notre cœur, elle est plus vrais que la réalité.

Le rythme des rythmes, la transe des transes, le chant des chants, toujours présente mais pourtant rarement entendu. Elle fait rapidement et avec aisance ce que certaine personne prendrons une vie entière à achever. Tel une romance, elle vague et divague parmi nous.

Étant une forme d’expression de soi, l’harmonie est présente sur diverse formes mais elle est plus couramment perçue à travers l’art, la dance, la musique et la sexualité. Elle transcende la dualité, les contraintes et paradoxes, ainsi que les limites afin de rendre l’impossible possible.

Écouter la musique, suivez son rythme ! ^^

mercredi 22 juillet 2009

La Passion ! Un Combat Sans Fin ?

Passion, désire et la recherche de la satisfaction, mes 3 grands termes favoris c’est dernier temps ! Une magnifique lame à double tranchant, une rose aux épines acérées. Je pense que je ne pourrais jamais en parler trop souvent car il s’agit de l’un des aspects les plus magnifiques de l’humanité. Source de souffrance, elle inspire le plus grand espoir et respect à celui qui la recherche. Déchirer entre la passion et la mortification, n’existe-t-il donc aucun refuge pour l’être humain ?

Sur un point de vu dualiste, le désire invoque la satisfaction (qui part sa propriété éphémère amène l’attachement, le renouvellement de ce désire), mais également la naissance de l’insatisfaction, agent initiateur à la souffrance. À l’inverse, l’état de non-désire révoque la satisfaction (élément tant recherché) mais préviens également l’insatisfaction et donc, la souffrance.

Toutefois, dû à la structure dualiste de la société actuelle, il semble impossible d’être heureux sans désire. La société nous conditionne que pour être heureux il faut non seulement avoir des désires mais les réaliser. Comme notre bonheur dépend de la réalisation de ces désires, nous créons également un espace où la non-réalisation de ces désires amène son opposé, donc la tristesse et le malheur.

Il s’agit d’une forme de contrainte que l’on s’implique à notre bonheur et cela même au niveau du subcontinent. Pourtant, ce bonheur ce trouve à l’intérieur de nous et n’est pas attaché à aucun élément extérieur à l’exception de si nous lui accordons cette propriété (ce qui est souvent le cas).

Un élément que j’ai retrouvé particulièrement familier chez les personnes les plus passionnés est la perception d’un manque de satisfaction en général, surtout par rapport au événement passé. Ils semblent couramment avoir présence d’éléments à connotation fortement négative dans le passé (abus, trahison, etc.) et il n’est pas rare de voir l’un de leur plus grand rêve (amour passionnel rompu, deuil, etc.) ce brisé entre leurs mains. Ils s’accrochent souvent à l’espoir d’une passion similaire futur afin de pouvoir reprendre, vivre et complété ce désire briser.

Ils sont en quelques sortes, prisonnier d’une puissante insatisfaction crée par leur propre passion. Cela forme une sorte de cercle vicieux où la personne n’a non seulement pas conscience qu’elle est créatrice de son propre malheur mais au contraire, pense que cette passion est en faite la seule source de satisfaction propice à leur bonheur. De plus est, les références du subconscient au rêve brisé passé par rapport à la déception vécu ne peut qu’embellir ça perception face à l’existence de ce désire/rêve tant convoiter.

Notre subconscient à le talent d’amplifié autant positivement que négativement, tout événement vécu. Un talent qui peut non seulement facilement mener un individu vers la mésinterprétation de la réalité mais la pousser à y croire comme étant la seul réalité possible.

Dans la vie de tout les jours, ces personnes ont tendance à défendre rapidement leur point de vue que cela sois verbalement ou mentalement (par des messages envoyé par leur subconscient afin de prouver qu’ils ont raison). Notre subconscient est partagé en deux parties, le penseur, et l’avocat, celui qui démontre les preuves. Tout ce que le penseur pense, l’autre partie tentera d’avancer les preuves afin de démontrer qu’il à raison.

Lorsque l’avocat fait cela, il utilise un système de filtre dans lequel il enlève les éléments contradictoires afin d’émettre ceux qui appuis le penseur. Ce procéder peut être relativement subtile et permet d’apprendre plus rapidement grâce à la généralisation de l’information mais confère également une certaine distorsion de la réalité.

Techniquement, je pense qu’une personne remarquera cette réalité (la présence du bonheur à l’intérieur d’eux et non dépendante de leur environnent) en passant à travers de la concrétisation de leur passion et rêve. Toutefois, dû à la distorsion du subconscient, à l’amplification du passé, l'impersonnalité (il n'y a rien qui ait une existence indépendante et réelle en soi), l’impermanence (tout est constamment changeant, on ne peut absolument rien trouver de permanent dans les phénomènes), l'insatisfaction (aucun phénomène ne peut nous satisfaire de manière ultime et définitive), et que chaque seconde est unique… il est fort probable qu’une personne recherche quelques choses qui ne pourra jamais revivre, le plaçant ainsi dans une boucle.

Percevoir plus loin que notre perception de la réalité est une épreuve qui demande une très grande clarté. Discerner à travers de ces murs invisibles qui forme notre réalité, briser ces chaines qui nous enferme dans leurs illusions pour finalement ‘être’ et vivre le moment présent en toute harmonie avec notre environnement (en interdépendance, et non en dépendance, avec ce dernier).

jeudi 16 juillet 2009

Le Rêveur

Des fois j’ai l’impression d’être pris entre deux univers… Je ne pourrais même pas dire exactement de quels univers il s’agit. En fait, j’ai les idées plutôt abstraites aujourd’hui. Mais bon, j’adore ces petites images d’animé qui me font tant rêver ! Je suppose que cela seul est une bonne raison pour écrire un article. Hihi ! ^^

Je suis pris dans une sorte de vide stagnant… Peut être est-ce parce que j’attends le début de ma session d’automne et que rien ne semble m’occuper réellement l’esprit pour l’instant, si ce n’est que le temps qui tente de remplir ce vide…. *Soupire* Enfin… Le travail est aussi ‘dull’ et le monde aussi étrange qu’à l’habitude. Ironiquement, on pourrait dire que je suis aussi ennuyant et mystérieux que cette univers qui m’entour.

D’une certaine manière j’ai l’impression que certain morceau de mon âme ce fait ronger par la paresse et cette rêverie qui l’accompagne. Par exemple, j’ai une large pile de livre sur le coin de mon bureau que je devrais placer quelques parts… Mais je n’ai pas vraiment de place pour cela. D’un autre côté, si je ne trouve pas de place, cela ne va faire qu’empirer lorsque je vais avoir d’autres livres de cours. Enfin, je ne sais pas trop quoi y faire… Ce n’est pas comme s’il y avait de la place pour mettre une deuxième bibliothèque dans ma chambre !

Quel magnifique monologue intérieur ! =P Tiens, je me demande qu’est-ce qui pourrait bien attirer mon attention ? Peut être ai-je seulement besoin de dormir un peu plus… de me laisser bercer par le royaume fantasmagorique des rêves, dans mon petit monde imaginaire. Domaine de l’abstrait, là où tout est possible, où le temps cesse d’exister.

D’un autre côté, on pourrait dire qu’il ne s’agit en fait que d’une voie échappatoire, et que comme toute autres choses, elle n’est qu’éphémère… *Pense* Ce n’est pas évidant de connaître ce que l’ont ‘doit’, ou même ‘veux’, faire ! L’existence est particulièrement complexe et ironiquement, cette notion de complexité ainsi que sa profondeur ne vient en fait que de nous même…

mercredi 8 juillet 2009

Inscription pour la Session d’Automne

Hier étais la première journée d’inscription pour les cours en tant qu’étudiant libre pour la session d’automne. Je peux vous assurez que les cours que je voulais prendre sont partie très rapidement ! Moins d’une heure après l’ouverture des inscriptions, et la moitié des cours étaient déjà complet.

Heureusement, j’ai eux le temps de prendre mes cours. C’est à dire : Psychologie Cognitive et Comportementale, Psychologie Clinique et Psychologie du Développement. Je vais pouvoir finalement commencer à étudier le domaine qui m’intéresse vraiment, et j’avoue que j’ai particulièrement hâte ! Objectif ? A+ ! Me faire des amis ! Apprendre de nouvelles choses ! Et m’amuser !

D’ailleurs, en naviguant sur le site web de l’UQÀM j’ai également trouvé une autre chose très intéressante. Il s’agit du centre sportif. Bon, le monde qui me connaît sait que je ne suis pas particulièrement sportif. Toutefois, la diversité, le nombre d’activité qui est offert ainsi que les tarifs très abordable ont attiré particulièrement mon attention !

En fait, il y a plusieurs activités que j’aimerai bien participer, que cela sois une activité aquatique, arts martiaux, escalade, relaxation, etc. Mais j’avoue que j’aimerai bien me trouver un partenaire qui veule s’inscrire avec moi. Il est à noter que l’inscription n’est pas avant mi-septembre. Toutefois, si jamais cela vous intéresse, et bien, contacter moi qu’on s’y prenne un peu d’avance!

En espérant que cela puisse intéresser l’un d’entre vous… Je vous souhaite tous une très belle journée !

mercredi 1 juillet 2009

La Coproduction Conditionnée

Aujourd’hui, je vais vous parler de la coproduction conditionnée, le concept bouddhique de conditionnalité, de dépendance et de réciprocité. Il s’agit d’une manière de comprendre la souffrance, ses causes ainsi que de la façon d’y remédier. L'essentiel du concept réside dans la notion d'interdépendance (vacuité).

La coproduction conditionnée est ainsi présentée comme un ensemble de douze liens, ou maillons, formant une suite cyclique. Ce n’est ni l’individu ni un autre qui est la cause de la souffrance; c’est la coproduction conditionnée. Conditionnées par l’ignorance se produisent les formations mentales, etc.

Ainsi, tous les phénomènes sont composés et inter-dépendants, que ce soient les objets physiques, les sensations, les perceptions, la pensée, la conscience. C’est la roue des Douze Causes Interdépendantes.

Ne pas le comprendre pousse à agir, impulsions et motivations à l’action, volontés et impulsions non éclairées par la sagesse, et conditionnées par les productions de l’ignorance, c’est-à-dire l’avidité et la haine.

L'absence de vue correcte de la nature des choses et des caractéristiques de l'existence conditionnée (impermanence, insatisfaction et absence d'essence) est à l'origine d'actes, paroles ou pensées qui produisent des imprégnations karmiques.

Les créations mentales ayant des effets karmiques, elles conditionnent le niveau de conscience. Les états de conscience conditionnent les phénomènes physiques et mentaux, qui eux conditionnent les six sphères sensorielles.

À parti des six sphères sensoriel (yeux, nez, oreilles, bouche, toucher, et la conscience) découle le contact qui produit les sensations. Il y a deux types de sensations, l’un correspond aux perceptions ou sensations cognitives nous permettant de reconnaître les objets, sans intervention de l’émotion. L’autre, les sensations affectives, nous permettant d’apprécier les qualités des objets : bon, mauvais, j’aime ou je n’aime pas, ou bien neutre.

Les sensations provoquent le désir. Si la sensation est agréable, on veut la perpétuer ou la renouveler. Ce qui conditionne l’avidité, l’attachement etc. Inversement le désir peut-être un désir de rejet de ce qui nous est désagréable : rejeter, éliminer l’autre qui nous gêne. Le désir provoque donc l’attachement et les angoisses de la peur de perdre l’objet, un partenaire par exemple, ce qui provoque anxiété et jalousie.

Désir et attachement produisent le souhait de continuer à exister dans ce monde pour jouir de ce qui nous fait plaisir. La vie étant courte, on se projette avec une forte énergie vers une existence future : continuer à renaître, devenir encore. C’est l’énergie de cette conscience, qui sans être quelque chose de fixe, est dans un processus de vouloir redevenir, provoquant une nouvelle naissance, vieillesse et mort.

Cette nouvelle existence, impermanente, sujette aux frustrations et maladies, aboutit en effet à la vieillesse et à la mort. On voit bien à partir de là que l’existence humaine est hautement impermanente ; conditionnés par l’ignorance.

‘L'examen des conditions d'existence des êtres vivants aboutit à la prise de conscience de la souffrance et de l'insatisfaction qui caractérisent la vie. En effet, chaque être vivant va faire, au cours de sa vie, l'expérience de situations pénibles qu'il n'a pas souhaité. Les formes les plus évidentes en sont la pauvreté, la maladie, la vieillesse et la mort. En revanche, ce que l'être vivant désire, il ne l'obtient que rarement et en ressent une grande frustration. Même lorsque ses désirs sont satisfaits, il ne peut s'en contenter et en voudra plus. L'état prolongé de satisfaction que l'on recherche, rien ne pourra le produire, car rien n'est durable. L'impermanence de toute choses régit en effet toute la pensée bouddhique.’

‘Le but des enseignements du Bouddha est donc de libérer de la souffrance tous les êtres vivants en leur montrant le chemin qui mène à un bonheur inaltérable. Pour supprimer cette souffrance, il faut en trouver les causes. C'est la qu'intervient le karman, loi selon laquelle tout acte volontaire porte tôt ou tard ses fruits. Cela peut-être agréable pour une action vertueuse ou désagréable pour une action non-vertueuse. Cependant, c'est plus l'intention que l'acte lui-même qui compte, et l'intention provient avant tout de l'ignorance. L'ignorance est donc à l'origine de toute souffrance.‘

La coproduction conditionnée devient la base d’une conception plus profonde de la réalité, qu’on appelle réalité profonde ou absolue, ce dernier mot n’ayant pas vraiment de sens. L’existence n’ayant pas d’existence propre (car elle existe que par interdépendance), est conditionné elle-même par ces 3 caractéristiques : l’impersonnalité (il n’y a rien qui ait une existence indépendante et réelle en soi.), l’impermanence (tout est constamment changeant, on ne peut absolument rien trouver de permanent dans les phénomènes) et l’insatisfaction (aucun phénomène ne peut nous satisfaire de manière ultime et définitive).

Si on considère les anneaux de cette chaîne nous enchaînant en un cycle, la meilleure façon de nous en échapper, est de briser un de ces anneaux, soit en nous éveillant de notre ignorance, la meilleure manière, soit, comme les ascètes, de tenter de vaincre les désirs.

Je pense que tout cela est très intéressant, et bien que contradictoire à notre société dualiste de consommation, je croie qu’il y a beaucoup de choses que l’ont peut apprendre de ces écrits.

Sur ce, je vous souhaite à tous une douce soirée !

Poisons : La Colère !

Aujourd’hui je vais vous parlez de la colère, l’un des trois poisons pour l’esprit.

En psychologie, la colère est considérée comme une émotion secondaire à une blessure, un manque, une frustration. Elle est affirmation de sa personne et sert au maintien de son intégrité physique et psychique ou alors elle est l'affirmation d'une volonté personnelle plus ou moins altruiste. Une colère saine est sans jugement sur autrui. Parce qu'elle peut faire souffrir celui qui l'exprime, elle peut être considérée comme une passion.

Si la colère est une forme d'expression licite contre l'indignation et l'injustice, elle est parfois incontrôlable. Face à un mal subi, l'homme en colère ne se contente pas alors de répondre par un mal équivalent, rétablissant une sorte d'ordre de droit égalitaire, mais rend facilement au centuple le mal qu'il a subi. La colère, aveugle et dévastatrice, devient alors la fureur et génère de la peur.

L’injustice est un des mobiles de la colère. Une personne en colère est une personne qui n'a pas renoncé à la justice. La question de la justice ne se pose que dans le champ des relations interpersonnelles : la colère constitue un formidable contre-pouvoir face aux idéologies de toutes sortes. Elle est un potentiel de transformation inter-individuelle, à condition de ne pas "casser" la relation.

Tant que la recherche de la justice mobilise un individu, le processus de justification est sous-jacent. Mais cela nécessite qu'une relation soit encore possible, que le sujet en colère ne s'enferme pas à l'intérieure d'elle, et qu'un Autre puisse l'accueillir.

Si ce n'est pas le cas, le sujet se met en danger. La tentation de l'auto-justification est grande, nourrissant le soupçon qu'autrui a besoin d'un coupable. La culpabilité et le sentiment de culpabilité s'entremêlent, pour le meilleur et pour le pire.

Si ce n'est pas le cas, la frontière précise entre l'auto-accusation et l'accusation réelle est mince, quelle que soit la légitimité de la colère. Le processus de justification se transforme alors en hostilités et en inimitiés et celui du bouc émissaire entre en scène.

Toutefois, la psychologie a bien montré, et expérimente chaque jour, les effets nocifs de la censure de la colère, qui enferme l'individu dans des zones de non-dits et parasite la relation à soi-même et aux autres. Il existe pourtant des expressions positives de la colère, qu'il est possible d'apprendre, de même qu'il est possible et souvent souhaitable d'accueillir la colère des autres.

La colère est une émotion passionnelle, et souvent impulsive, fessant partie de chacun de nous. Lorsqu’elle survient, il est important de bien l’accueillir et de l’accepté à l’intérieur de soi. Il s’agit d’une partie intégrante à soi et la réprimer ne peut qu’engendrer des états de mal l’être à l’intérieur de nous. Toutefois, comme toutes les autres émotions, elle est impermanente.

Malheureusement, nous la fessons souvent perdurer avec des états d’être altérés, des illusions, ou des sentiments de vengeance et de justice. La vengeance est un plat qui ce mange froid, certes ! Mais ne sommes nous pas bien plus à laisse à l’intérieur de cette tendre chaleur qui habite notre cœur ?

Les Chaînes du Désires

Et si nous vivions que de désir et de passion, qu’arriverait-il ? Serions-nous vraiment plus heureux ? Lorsque nous complétons un désir, l’un de ces deux choix arrives : Nous sommes soit satisfait, sois insatisfait du résultat. Si nous sommes insatisfait, cela ne fait qu’alimenter le cercle vicieux, nous cherchons habituellement un désir plus ‘intense’ ou changeons complètement de désir, toujours à la recherche de ce sentiment de satisfaction tant désiré.

Si au contraire nous sommes satisfait du résultat, nous achevons habituellement un état d’esprit de bien être temporaire (car tout est éphémère). Comme ce dernier est temporaire, il fini par disparaître, créent ainsi un vide qui doit être à nouveau comblé. Nous devons donc rechercher un nouveau désire (souvent de façon encore plus intense), entretenant ainsi une fois de plus, ce cercle vicieux. Indirectement, nous alimentons dû même coup, notre dépendance à ce désir particulier.

Il existe également plusieurs méthodes afin de maintenir l’illusion de permanence. Par exemple les drogues et alcools peuvent inhiber notre état d’esprit afin de nous faire oublier le présent et vivre dans cet état illusoire. Toutefois, lorsque nous nous réveillions de ce brouillard, la temporalité de cet état illusoire nous frappe de plein fouet, et souvent au dépend et au sacrifice de diverse valeurs personnel tel nos relations, amitiés, études, etc.

De plus, ce sentiment de bien être relié à ce désire s’engrave dans nos mémoires du passé et est fréquemment utilisé comme ressource de référence lors de nos expériences future. Ceci peut être particulièrement problématique si la personne à tendance à comparé les évènements du future avec ceux du passé, faisant en sorte qu’elle n’est jamais véritablement dans le présent.

Prenons le cas d'un besoin, d'un tout premier besoin : s'en suit une satisfaction de la douleur éprouvée, la première satisfaction. Quand l'individu éprouvera une nouvelle fois ce besoin, émergera simultanément le souvenir de la satisfaction jadis obtenue. Le désir est tourné vers le passé ; l'individu veut la restauration de la satisfaction qu'il a obtenue la première fois.

Il s'investit affectivement, et le besoin s'ourle d'une épaisseur psychologique. C'est cette considération nouvelle par rapport au besoin qui fait que le désir ne peut être comblé tout à fait, et que nous sommes voués à une insatisfaction perpétuelle : si la douleur liée au besoin peut être calmée, comme ça déjà été le cas une première fois, rien ne peut venir calmer cet investissement affectif créé de toutes pièces.

Le désir lui-même est en fait issu d’un sentiment de manque ou de vide, dans ce sens qu’on ne désire que ce dont on manque. Nous ressentons donc un ‘haut’ temporaire afin de ressentir un ‘bas’ qui lui aussi est également temporaire. Le désir est tantôt considéré positivement comme un moteur, tantôt considéré négativement comme une source de souffrance, une forme d’insatisfaction. Le véritable bonheur résiderait de ce fait dans l'absence de désir.

Toutefois, en ce plaçant dans cet état d’attente et de suspension temporaire nous créons un état statique de vide à l’intérieur de nous même car en bout de compte, nous voulons que cette état de bien être perdure éternellement et ne sois donc pas éphémère alors que c’est actuellement cet nature éphémère qui la rend désirable.

Nous devenons donc esclave de nos désires qui eux même crée cette chaine d’insatisfaction que nous désirons éviter !